décembre 24, 2024

JOYEUX NOËL et BONNE ANNÉE AUX FRANÇAIS QUI ENTENDENT LE RESTER

Je souhaite, mieux : j'espère, que ce Noël 2024 qui a été précédé de la restauration de Notre Dame de Paris, soit suivi de la restauration de notre pays lui-même, de sa culture, de son identité, de ses traditions immémoriales, toutes choses qui ne peuvent s'accomplir sans la revivification de nos racines chrétiennes : celles qui furent plantées au plus profond de notre inconscient collectif la nuit de Noël 496 où Clovis fut baptisé et convertit au Christ ce qui allait devenir la France.

Je le souhaite sinon aux générations (y compris la mienne) qui ont laissé s'instaurer depuis plus de cinquante ans un climat de relâchement, d'hédonisme, de dhimmitude assaisonnées de revendications permanentes et stériles dans notre pays, mais à nos enfants et petits-enfants à qui nous avons le devoir de transmettre ce que nous avions reçu : une patrie solidement arrimée à ses origines, une terre inviolable et sacrée, une foi ancestrale inspirant toutes ses lois, une forme d'indépendance exigeante mais généreuse, une liberté s'abreuvant sans cesse aux sources mêmes de la Vérité qui ne peut que celle du Christ..

Un Rappel

Plusieurs fois la France fut envahie :

  • Au cinquième siècle par les Vandales et les Huns
  • Au dixième par les vikings
  • Au quatorzième et quinzième par les Anglais et même par les Espagnols
  • Au seizième siècle par les uhlans protestants venus d'Allemagne
  • Au dix-neuvième et vingtième siècle, par trois fois, par les hordes teutonnes
  • Et, s'il n'avait tenu qu'au parti communiste français, elle aurait pu l'être aussi par les Russes communistes.

Toujours elle réagit avec héroïsme et se releva avec panache, tant sa vitalité et le sens permanent de la destinée unique que Dieu lui réserve au sein des nations, surent la galvaniser et surent lui inspirer l'énergie nécessaire à renaître plus forte et plus sûre d'elle-même qu'avant.

Les "Droits de l'Homme" deviennent des "Devoirs de disparaître"

Aujourd'hui elle a tourné le dos à ses origines et à sa vocation après trois siècles de propagande maçonnique, anti-chrétienne, anti-nationale. En remplaçant notre vocation profonde par le culte du " laïcisme" et les "droits de l'homme sans Dieu", la maçonnerie luciférienne (elle-même héritière de certains courants talmudiques apparaissant dès les premiers siècles chrétiens) déposa dans l'âme de la France l'équivalent de l'aspic tapi au fond du panier de figues qui tua la malheureuse Cléopâtre.

Ces pseudo "Immortels principes" - en fait ces principes mortifères - ne sont qu'une ténébreuse machine de guerre pointée contre son identité chrétienne depuis l'aube de sa fondation. Arme idéologique tellement subtile qu'elle n'a plus aucun besoin d'utiliser la violence pour imposer sa culture de mort. Car c'est en nous persuadant qu'accueillir, installer et financer sans contrepartie sur notre sol les héritiers de ces hordes que Charles Martel sut arrêter à Poitiers, affermirait notre vitalité comme autant de "chances pour la France"; qu'en nous dissolvant dans le magma européo-mondialiste se réaliseraient nos destinées supérieures; qu'en laissant à nos envahisseurs prolifiques le soin de renouveler les générations; que détruire dans le sein de leur mère les enfants de souche française qui auraient réussi à passer les barrières du "contrôle des naissances" et de la "contraception", contribuerait à notre survie; qu'en éliminant nos vieillards et nos grands malades, nous serions plus "heureux".

Ce sont toutes ces ignominies qui, en fait ne sont que des inepties pour qui est doué d'un peu de bon sens, qui sont en train de nous conduire au tombeau en tant que nation.

Un régime illégitime à bout de souffle

Aujourd'hui le régime que nous nous sommes donnés en pensant qu'il assurerait notre liberté et notre sécurité est à bout de souffle. Ce ne sont pas les dérisoires personnalités - plus ou moins tordues -, toutes inféodées à l'ordre mondialiste installées comme éphémères "premiers ministres" - dont le dernier accumule les gaffes de bon cœur dès sa prise de fonction -, qui renverseront le cours des choses et nous sauveront en tant que peuple et que nation.

Quant au responsable ultime de cette situation - le joueur de flutiau élyséen installé à son poste pour mener son peuple à la noyade dans le maelstrom bruxellois -, s'il est encore au pouvoir, il est aussi déjà aussi condamné par l'Histoire qui y verra un lointain et minable successeur de l'évêque Cauchon vendu aux Anglais ou du comte Ferrand vendu à l'empereur d'Allemagne - (Ferrand te voilà ferré - criait le peuple en le voyant enchaîné derrière le roi Philippe Auguste en 1214) comme nous l'apprenions à l'école du temps où elle n'était pas aux mains des déviants et des wokistes.

On pourrait y ajouter maints personnages qui, au long de notre longue Histoire, se sont évertués à trahir notre patrie au profit de puissances ou d'idéologies contraires à notre survie. Je n'en citerai que deux, tout à fait emblématiques : le communiste Maurice Thorez déserteur réfugié à Moscou pour ne pas avoir à entrer en guerre contre l'Allemagne nazie alors alliée de l'URSS et, dans le sens inverse, l'opportuniste Pierre Laval délibérément engagé dans la collaboration avec ladite Allemagne nazie dont il pensait qu'elle gagnerait la guerre et dominerait l'Europe.

Les conditions du sursaut

Mais, un commentateur de la chose politique, faisait remarquer que chaque fois que la France est arrivée à un point de non retour où sa survie est engagée du fait des ambitions étrangères et plus encore du fait de la médiocrité de certains de ses dirigeants et de la trahison d'un certain nombre d'autres, s'imposait un personnage qui sifflait la fin de la récréation et reprenait les choses en main, rétablissant pour un temps la grandeur, la santé et le rayonnement que notre pays avait laissé filer : Clovis en 496 - Philippe Auguste en 1214 - Jeanne d'Arc en 1429 - Henri IV en 1589 - Richelieu en 1624 - Louis XVIII et Talleyrand en 1815 - Pétain en 1917 - Clemenceau en 1918 - De Gaulle en 1940 (qui s'est malheureusement trahi lui-même et nous lui avec en 1958/62) font partie de ces personnages "providentiels" qui interviennent au moment crucial où le grand metteur en scène métacosmique juge bon de les susciter.

Les conditions de notre redressement

C'est donc vers le Christ, Roi des Nations et plus particulièrement Roi de France depuis le baptême de Clovis par Saint Rémi; vers Marie Patronne Principale de la France, vers les Saints Protecteurs de celle-ci : sainte Jeanne d'Arc, sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, Saint Michel archange, saint Louis, saint Rémi et saint Martin que je me tournerai pour les prier humblement de ne pas nous tenir trop longtemps encore prisonniers des erreurs qui nous ont menés là où nous en sommes : une disparition programmée et un "grand remplacement" des enfants de France par les enfants du Maghreb et autres lieux divers et variés.

Joyeux Noël à toutes et à tous et haut les cœurs de France.

Il n'y a pas encore de commentaires sur cet article

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *