[On se souviendra peut-être que, le 05/08/2021, j'avais publié un petit article concernant l'anagramme qu'il est possible d'établir avec le nom et le prénom de celui qui sert de président à la république. Pour ce qui est de la France -, royaume des Lys placé sous l'autorité spirituelle de ND et de Son divin Fils - c'est tout autre chose. On ne saurait confondre, non plus le Roi - Sergent de Dieu, Lieutenant du Christ - avec Triboulet, son bouffon... ou sa caricature.
Cet anagramme, dont chacun peut vérifier la pertinence est celui-ci : "Mammon enculera".
Un de mes lecteurs, enchanté par ma trouvaille a brodé une petite réflexion sur le sujet, que je ne résiste pas à vous communiquer, sans rien y changer.
Bonne lecture à vous]
Mammon est un mot à l’étymologie obscure qui désignait à l’origine les possessions matérielles, les trésors, l’argent, voire le bénéfice.
Il s’est vite trouvé personnifié en un des princes de l’Enfer.
C’est lui qui, en l’absence de Moïse, monté au Sinaï pour recevoir les tables de la Loi, aurait inspiré aux Hébreux l’adoration du Veau d’Or.
Les Évangiles ont donc sommé chacun de choisir clairement qui servir, Dieu ou Mammon :
Aucun homme ne peut servir deux maîtres : car toujours il haïra l’un et aimera l’autre. On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon (Matthieu 6:24). »
Ce qui ne veut pas dire que la richesse en tant que telle ait été mise à l’index car, bien qu’il soit plus difficile à un riche d’entrer au paradis qu’à un chameau de passer par le chas d’une aiguille, ce que nous possédons peut être consacré à Dieu, c’est-à-dire, utile à la charité, au bien commun.
L’aspect maléfique de Mammon se manifeste donc avant tout dans l’appât du gain, la soif d’acquérir, le désir d’être riche et puissant à tout prix, sans égard pour autrui ou pour le bien commun, notamment la Terre. Selon le poète John Milton Mammon serait le premier à apprendre aux hommes à éventrer la Terre pour lui arracher ses trésors cachés.
Mammon est en somme l’idole des banquiers, des financiers, des marchands, des traders et de tout ce que la sphère humaine compte d’êtres disposés à toutes les horreurs économiques, sociales et écologiques dès lors qu’elles sont financièrement intéressantes.
Malheureusement, il est aussi devenu celui de tous les individus lambda qui, possédés par la peur d’être sans valeur, envieux des modèles de réussite sociale auxquels nous sommes constamment exposés, sont entrés dans la spirale du narcissisme et se cherchent désespérément un avenir de pouvoir, de richesse, de plaisirs et de gloire sans s’inquiéter outre mesure des dégâts suscités autour d’eux par la violence de leur égoïsme.
Les choses en sont venues au point que ce n’est plus actuellement l’homme qui est la mesure de toute chose mais l’argent : la marchandisation du monde n’est pas seulement en bonne voie, elle est en marche !
A la place de Dieu, elle prétend sonder les cœurs et les reins, non pour les juger, mais pour les vendre.
Malheur à nous lorsque nous aurons mis au pouvoir les dévots de Mammon !
Mais ciel ! Il semble que mon présage soit prêt à s’accomplir car, en effet, qui de France est le président, si ce n’est un banquier ?
Quel est son nom ? Emmanuel Macron ?
Foin du signifiant, quel en est le signifié ? De quoi Emmanuel Macron est-il le nom ? De quoi est-il le symbole ?
Cela ne saurait être Jupiter car celui qui l’a porté en pleine lumière est bien ce serviteur des princes de ce monde, ce conseiller de l’ombre, l’inénarrable Jacques ATTALI, dont le panthéon n’est ni romain ni grec, loin s’en faut.
C’est donc plus sûrement avec la Kabbale — qui s’attache à combiner les lettres des mots car ainsi ils laissent entendre une réalité moins apparente et bien supérieure à celle des objets sensibles (les signifiants) — que nous pouvons espérer quelque succès en tentant de soulever un coin du voile de la connaissance.
Point n’est alors besoin de savants calculs pour trouver Mammon dans le nom du jeune banquier et les huit lettres restantes n’offrent aucune alternative à cette brutale conclusion : Mammon enculera.
Depuis longtemps Jacques Attali se plaît à dire que le peuple juif a apporté au monde deux idées fondamentales, l’idée de Dieu et l’idée de l’Argent. Voici que joignant l’acte à la parole, il nous a servi sur un plateau le dieu de l’argent … et son programme !
Car enfin, nul ne peut en douter à présent, les orientations gouvernementales sont assez claires, il n’y a plus de gauche ou de droite qui vaille, seulement une soumission totale aux directives des instances supranationales, européennes, financières, etc.
Autrement dit, la seule alternative à la révolution authentiquement démocratique - que nous ne ferons probablement pas - sera, encore, malheureusement, une pratique que l’on dit grecque…
Bref, nous l’aurons tous dans le baba, si vous me passez l’expression.
Ainsi, en définitive, devrions-nous, désormais, entendre le nom d’Emmanuel Macron en même temps que son anagramme car tel semble bien être le projet !
Nicolas de Cuges
Comme je vous l'ai annoncé, ce texte éloquent se passant de commentaires, je n'y ajouterai rien.
Bonne soirée à toutes et à tous.
En parlant d’anagramme et de projet je propose : Benalla = "Bel anal".
Décidément on n’en sort pas...
Je pense que cela définit assez bien le charme sulfureux que notre Alexandre exerçait sur notre Emmanuel national et qui justifiait les privilèges et passe-droits les plus étonnants d'après ce que j'ai pu lire chez plusieurs biographes. On pense à Louis XV avec la Du Barry. Mais n'est peut-être pas Louis XV celui qu'on pense. Bref.
Plus j'y pense et plus je suis tenté d'établir des analogies entre le couple improbable du Duc de Windsor (pervers polymorphe et homosexuel discret) et Wallis Simpson (aventurière de haut vol qui avait acquis beaucoup d'expérience en matière de domination sexuelle dans les bordels chinois) qui disait de leur couple, dans une interview, que leur vie commune consistait à "déjeuner ensemble, après quoi chacun fait ce qu'il veut".
Bien à vous