On se souvient de cette phrase terrible de Pierre Laval en pleine occupation de notre pays par les troupes allemandes, phrase prononcée le 22 juin 1942 et qui pesa si lourd dans sa future condamnation à mort : " Je souhaite la victoire de l'Allemagne…..". Et on omet soigneusement de citer la deuxième partie de cette phrase qui risquerait d'en atténuer la charge apparente de félonie envers son propre pays : "…. parce que, sans elle, le bolchevisme, demain, s'installerait partout.…".
Effectivement, ce n'est pas un pays comme le nôtre, noyauté, pollué par la doctrine marxiste qui a tourné la tête de toute une partie de l'intelligentsia occidentale et qui a inspiré un parti communiste dit "français" (sans rire) à cette époque tout près à ouvrir les portes de son pays aux "armées libératrices du Grand Camarade soviétique", ce n'est pas un pays comme le nôtre (et ce fut encore moins le cas après la guerre) qui risquait d'empêcher que "le bolchevisme, demain, s'installât partout…." avec un PCF à 21,6% à l'élection présidentielle de 1965 !
Mais, en fait, tout le discours, assez court au demeurant, pourrait être cité tant il est lourd d'analogies avec notre situation présente. Je ne résiste pas au besoin de vous en rappeler l'essentiel :
« Nous avons eu tort, en 1939, de faire la guerre. Nous avons eu tort, en 1918, au lendemain de la victoire, de ne pas organiser une paix d'entente avec l'Allemagne. Aujourd'hui, nous devons essayer de le faire. Nous devons épuiser tous les moyens pour trouver la base d'une réconciliation définitive. Je ne me résous pas, pour ma part, à voir tous les vingt-cinq ou trente ans la jeunesse de nos pays fauchée sur les champs de bataille. Pour qui et pourquoi ? »
« Ma présence au gouvernement a une signification qui n'échappe à personne, ni en France, ni à l'étranger. J'ai la volonté de rétablir avec l'Allemagne et avec l'Italie des relations normales et confiantes. »
« De cette guerre surgira inévitablement une nouvelle Europe. On parle souvent d'Europe, c'est un mot auquel, en France, on n'est pas encore très habitué. On aime son pays parce qu'on aime son village. Pour moi, Français, je voudrais que demain nous puissions aimer une Europe dans laquelle la France aura une place qui sera digne d'elle. Pour construire cette Europe, l'Allemagne est en train de livrer des combats gigantesques. Elle doit, avec d'autres, consentir d'immenses sacrifices. Et elle ne ménage pas le sang de sa jeunesse. Pour la jeter dans la bataille, elle va la chercher dans les usines et aux champs. Je souhaite la victoire de l'Allemagne, parce que, sans elle, le bolchevisme, demain, s'installerait partout. »
« Ainsi donc, comme je vous le disais le 20 avril dernier, nous voilà placés devant cette alternative : ou bien nous intégrer, notre honneur et nos intérêts vitaux étant respectés, dans une Europe nouvelle et pacifiée, ou bien nous résigner à voir disparaître notre civilisation. »
C'est exactement le discours – beaucoup moins brillant et charpenté que celui de Laval – que nous tient le pape actuel. Sauf qu'au lieu de nous parler des rapports réciproques entre la France, l'Allemagne et cette nouvelle Europe [dont Laval avait la claire vision, pleinement réalisée avec la réconciliation effective de la France et de l'Allemagne à partir de 1963] le pape nous parle de la Chrétienté (ou ce qu'il en reste) de l'Islam et du monde. Et il n'est pas sûr qu'il ne voit dans l'islam l'agressé et dans le christianisme le l'agresseur, tant chez lui le goût de la contradiction tourne à celui de l'inversion.
Et, tout comme Laval dans son déni du réel – la nocivité intrinsèque du régime hitlérien avec lequel il croyait pouvoir "négocier" et bâtir une "nouvelle Europe" - il s'obstine à ignorer la violence et le totalitarisme intrinsèques de la religion musulmane avec laquelle il veut "dialoguer " ! Et toute une partie de notre clergé de mitres molles avec lui. En pleine "communion" de pensée avec "saint" Jean-Paul II que l'on voit ici, toute honte bue, embrasser le livre faussement sacré, d 'une fausse religion qu'on attribue faussement à un pseudo prophète inventé pour les besoins de la cause.
Mais voilà que cette absurdité (pour rester modéré) est clairement relevée par le cardinal Dominik Duka, archevêque de Prague, primat de Bohême et président de la Conférence des évêques catholiques tchèques qui vient de déclarer en conclusion d'un article décapant : « La question que je me pose c’est comment pouvons-nous vouloir un dialogue avec l’islam alors que souvent nous ne pouvons même pas en avoir un entre nous dans l’Église ? ».
Et le cardinal, reprenant des propos du pape François, de mettre en garde contre « une politique d’accueil disproportionnée et acharnée » des migrants musulmans. Pour lui, l’assassinat du Père Hamel constitue une « leçon » donnée à tous ceux qui avaient minimisé de précédents incidents semblables et tenu ceux qui les perpétraient pour des personnes frustrées ou mentalement dérangées : « Garder le silence ou mentir sur les causes réelles de cette situation reviendrait à participer au suicide de la civilisation ».
Il appelle donc à prier davantage pour les victimes du terrorisme qu’à chercher des excuses ou des justifications aux terroristes musulmans.
« Il y a dans l’islam une tendance à la violence qui est dissimulée et on doit encourager les fidèles musulmans à s’y opposer ».
Là, il s'agit de pure rhétorique. Pourquoi voudriez vous que "les fidèles musulmans" s'opposent à une violence qui pourrait asseoir leur position dans les pays qu'ils occupent ?
Et, - le croiriez-vous ?,- l’article du cardinal a été refusé par Antonin Randa, rédacteur en chef de Katolický týdeník…la revue publiée par Le cardinal Duka censuré dans l’hebdomadaire de la Conférence épiscopale dont il est le président !
Quelle meilleure preuve apporter de l'impossibilité de "dialoguer" avec la secte progressiste, relativiste, syncrétiste qui a pris les commandes de l'Eglise depuis Vatican II et qui ne cesse de raffermir son emprise sous le présent pontificat ?
D'où la décision du cardinal de publier son article, le 6 août, sur le blogue tchèque Aktuálně, comme nous l'apprend l'excellent blogue d'où je tire l'ensemble des informations que je vous livre ici "Le Salon Beige" http://www.lesalonbeige.fr/.
Or, le cardinal aurait pu se montrer encore plus virulent qu'il ne l'a été car les déficiences doctrinales, le déni de réalité de François, qui ne s'expliquent que par sa volonté de participer à la mise en place d'une sorte de grande religion humano-universalo-maçonnique dans laquelle – estime-t-il - l'islam jouera sa partition si on lui fait les yeux doux (comme Laval à Hitler pour l'Europe) viennent d'être démentis d'une façon tellement claire et évidente que s'il advenait qu'il s'obstinât sur ses positions, nous pourrions alors définitivement conclure à sa très réelle duplicité (qu'il admet d'ailleurs assez volontiers) et surtout, à l'occupation de la chaire de Pierre par un homme qui n'est plus le "Vicaire du Christ" mais une contrefaçon. En termes catholiques cela s'appelle un "antiChrist".
En effet, (je cite l'article du "Salon Beige") : L’État islamique a répondu publiquement aux déclarations du pape François selon lesquelles la guerre menée par les terroristes islamiques n’est pas religieuse de nature. L’article assure le pontife que leur seule et unique motivation est religieuse et approuvée par Allah dans le Coran.
À la une du dernier numéro de Dabiq – le magazine de propagande officielle de l’État islamique –, le groupe terroriste critique notamment la naïveté du pape François qui se cramponne à la conviction que les musulmans veulent la paix et la coexistence pacifique et que les actes de terreur islamique sont motivés par des raisons économiques. Dans l’article intitulé « By the Sword » (« Par l’épée »), les auteurs déclarent catégoriquement : « Ceci est une guerre divinement cautionnée entre la nation musulmane et les nations infidèles ». [...]
« Tuez les mécréants partout où vous les trouverez »
L’article déplore qu’en dépit de la nature clairement religieuse de leurs attaques, « beaucoup de gens dans les “pays des croisés” (pays occidentaux) » expriment un choc et même un dégoût parce que la direction de l’État islamique « utilise la religion pour justifier la violence … En effet, le djihad – la diffusion de la règle d’Allah par l’épée – est une obligation que l’on trouve dans le Coran, la parole de notre Seigneur », rappelle le magazine. « Verser le sang des incroyants est une obligation commune. Le commandement est très clair : tuez les mécréants, comme Allah l’a dit, “tuez les mécréants partout où vous les trouverez”. » [...]
Le fait est que « même si vous (les pays occidentaux) arrêtiez de nous bombarder, de nous jeter en prison, de nous torturer, de nous humilier et de vous emparer de nos terres, nous continuerions de vous haïr, parce que le motif premier de notre haine ne disparaîtra pas tant que vous n’aurez pas embrassé l’islam. Même si vous deviez payer le jizyah [impôt pour les infidèles] et vivre sous l’autorité de l’islam dans l’humiliation, nous continuerions à vous haïr ». [...]
Quels autres points sur quels autres "i" faudra-t-il encore mettre pour que nos élites religieuses et nos élites politiques finissent par comprendre qu'on nous a déclaré une guerre sans merci qui se déroule sur deux fronts et à travers deux méthodes différentes.
De nos jours cette guerre que Jean-Louis Harouel qualifie dans l'article que je cite plus bas, de "civilisationnelle" est particulièrement vicieuse car elle consiste à utiliser les principes politiques et philosophiques sur lesquels notre dis-société issue des "lumières" a été bâtie, pour installer progressivement une autre société de caractère exactement opposé aux dits principes : ainsi les droits-de-l'Homme - l'anti-racisme - la tolérance - l'égalitarisme - la non-discrimination - le droit à la différence - la laïcité, etc.... principes appliqués sans aucun discernement, imposés en eux mêmes et pour eux mêmes hors de tout cadre de référence - religieux, national, moral, culturel - sont-ils devenus les poisons par lesquels expirera cette civilisation qu'ils étaient sensés couronner des plus beaux joyaux de l'humanisme. C'est au nom de ces principes que nous nous trouvons envahis, colonisés, que nous perdons notre identité, et même notre intégrité territoriale sur de larges portions du pays, et que nous voyons des populations totalement étrangères à l'identité et à l'histoire de la France, imposer leur présence, leurs moeurs et bientôt leurs lois à notre Patrie.
Ce qui n'est jamais arrivé ni avec les Anglais, ni avec les Espagnols ni avec les Allemands - et Dieu seul sait s'ils ne se sont par privés d'envahir la France au cours de son histoire - est en train de nous arriver de la part de populations que nous appelons élégamment "sous-développées", alors qu'il n'y a guère on considérait tout simplement qu'elles présentaient un "déficit de civilisation". Toujours pour rester polis. Lisez les discours des grands "hommes de gauche" de la IIIème République et vous constaterez qu'ils ne s'embarrassent pas de circonlocutions pour mesure le "retard" des populations qui nous envahissent aujourd'hui alors que nous devions les "civiliser" hier.
On est donc passé d'une extrême fort regrettable à une autre fort périlleuse pour l'avenir des enfants de France qui, grâce aux sectes qui nous gouvernent et qui ont en commun la haine de la France historique et ethnique, risquent demain de se retrouver dans la situation des Amérindiens après l'invasion anglo-saxonne.
Pour préciser l'aspect purement musulman de cette entreprise de décérébration généralisée d'inspiration luciférienne qui nous conduit à la disparition en tant que nation et que culture (ou haineuse et suicidaire si vous préférez un terme moins connoté), voici la reproduction de l'article signé par Jean-Louis Harouel dans un récent numéro de Le Figaro (http://www.lesalonbeige.fr/polemiques-sur-le-brukini-provoquees-par-les-djihadistes-civilisationnels/) qui devrait contribuer à ouvrir les yeux de ceux "qui ne veulent point voir".
Je cite:
« L’islam est, par nature, politique. On ne saurait trop le rappeler: l’islam est un système total qui mêle le religieux, le politique, le juridique, la civilisation. L’islam est un code de droit qui prétend remplacer le droit du pays d’accueil. Si bien que toute concession faite à l’islam comme religion est un abandon consenti à l’islam comme système politico-juridique ainsi qu’à la civilisation islamique.
Face à l’islam, la laïcité conçue comme neutralité ne suffit pas. Le cas de figure n’est pas le même qu’avec le catholicisme. Notre laïcité s’est certes construite contre l’Église, mais en accord avec les paroles fondatrices du christianisme: rendre à César et à Dieu ce qui leur revient respectivement. L’islam est au contraire l’anti-laïcité par excellence, si bien que notre État laïque devrait le combattre beaucoup plus durement qu’il n’a combattu le catholicisme.
[…] Notre pays est actuellement en guerre, et s’il ne veut pas être vaincu dans cette guerre, il doit savoir contre qui et contre quoi il se bat. Pour ne pas perdre une guerre, il faut impérativement nommer l’ennemi. Or, en l’espèce, celui-ci est double: d’une part les djihadistes violents qui massacrent dans notre pays; et d’autre part, les djihadistes «civilisationnels», qui œuvrent inlassablement à rendre toujours plus présents sur notre sol leur civilisation, leurs règles et leur mode de vie.
À moyen et long terme, le plus grand danger pour les Français est la conquête feutrée de la France par le djihadisme civilisationnel, conquête qui s’opère au nom des droits de l’homme. Les femmes qui portent des vêtements de bain islamiques sont des militantes de la conquête de notre pays par un groupe humain porteur d’une civilisation antagoniste. Cet été, les plages sont la nouvelle partie de notre territoire que visent à s’approprier les islamistes. »
Avec la seule différence que Pétain avait hérité un pays envahi aux trois quarts par une armée étrangère qui avait submergé et tronçonné une armée française ("la plus puissant du monde", disait-alors sans rire) conduite par des crétins galonnés dont Gamelin restera l'archétype pour les siècles des siècles; une armée tellement dispersée, tellement privée de communication, que des commandants d'unité mettaient des petites annonces dans les journaux pour retrouver leurs troupes. Sans compter sept millions de personnes parties sur les routes de l'exode qui entravaient un peu plus – bien que ce fût totalement superfétatoire – les quelques tentatives de contre-attaque qui pouvaient se déclarer ici ou là. Sans parler des problèmes d'administration, de ravitaillement, d'hébergement qui résultaient de cet état chaotique dans lequel notre pays était tombé.
Jamais personnage de notre Histoire, pas même Charles V ou Charles VII je pense, ne dut faire face à une telle catastrophe menaçant d'engloutir le pays.
Bref, ne refaisons pas l'histoire, mais regardons là se faire, sous nos yeux, telle qu'elle se déroule depuis quarante ans où nous avons accueilli, nourri, éduqué, entretenu - souvent à ne rien faire - une population de plus en plus tentée par le communautarisme et le repli identitaire autour des "valeurs" de l'islam, et qui peu à peu, compromis après compromis, concession après concession de notre part, nous impose ses mœurs, ses façons de vivre, ses exigences contraires aux nôtres et, très bientôt - si nous ne réagissons pas maintenant très, très vite -, ses lois.
Et cela s'est fait sans panzerdivision déferlant par la frontière belge, sans luftwafe bombardant nos villes, nos troupes et nos populations civiles, sans divisions d'infanterie occupant notre terrain par la force des armes.
Cela s'est fait par la volonté d'un faux-noble zozotant ayant décrété le "regroupement familial", un énarque tellement suffisant qu'il en devenait ridicule, puis d'un véritable aventurier politique réchappé des vomissures de la Quatrième et papillonnant des paupières à chaque gros mensonge proféré, puis d'une sorte de grand "dépendeu-d'andouilles" agitant ses grands bras comme les pales d'un sémaphore à chaque nouvelle trahison de ses engagements initiaux, d'un tzigane levantin capable de raconter n'importe quelle salade en n'importe quelle circonstance tout en vous faisant les poches sans sourciller, et enfin d'une sorte de Snoopy libidineux, convaincu depuis longtemps que détruire notre société pour la remplacer par un magmas liberto-libertaire, échangiste, tuyau-de-poêliste, multiculturaliste, était le plus grand service qu'il puisse rendre au pays. Si, en plus, cela pouvait transformer l'Elysée en lupanar pour starlettes en mal de pub. cela serait encore mieux.
Or, voyez comme cela tombe bien, si le pays devenait une "république musulmane" il pourrait entretenir, grâce aux généreuses contributions des citoyens-dhimis, un harem préfigurant celui qu'il rejoindra au paradis d'Allah (Que son saint nom soit béni !) lorsque le moment sera venu.
Quant au reste, ce qu'il faut sacrifier et détruire : le monde des "sans dents", la patrie chrétienne, nos familles, l'avenir de nos enfants…Après lui le déluge !
Mais on ne pourra pas éternellement nous abuser à grands coups de "pasdamalgamisme", ni nous faire taire en nous menaçant des tribunaux pour "islamophobie"; on ne pourra plus non plus invoquer l'ignorance de la situation réelle, la naïveté ou la bonne volonté....sans oublier la miséricorde (à sens unique). Beaucoup d'hommes courageux ont passé le cap de l'interrogation douloureuse. Ils ont les réponses et ils les publient. Ne reste plus qu'à passer à l'action. De manière légale tant que c'est possible.
Entre dans ce cas le général Tauzin, futur candidat à la présidentielle de 2017 qui vient de publier le communiqué suivant :
" « En 2012-2013, lors de la Manif pour tous, on a commencé à parler de guerre civile. Moi, j’en ai connu quatre sur le terrain : au Liban, au Rwanda, en Yougoslavie et en Somalie. Il n’est pas possible de rester à ne rien faire. La cause essentielle de nos maux est le système désastreux des partis, comme disait de Gaulle, dont se servent des carriéristes. De Chirac à Hollande en passant par Sarkozy, ils sont responsables. Je veux montrer une autre voie. »
« Il s’agit de désigner clairement l’ennemi. Au-delà de l’État islamique, leurs soutiens sont le wahhabisme, le salafisme, financés par le Qatar, l’Arabie saoudite à qui nous vendons des armes et avec qui nous entretenons des amitiés. Dans cette affaire, nous nous comportons comme les vassaux des Américains. Il faut quitter l’OTAN, revoir nos alliances. Je ne suis pas un admirateur de Poutine mais dans le contexte du XXIe siècle, nous avons plus d’intérêts stratégiques en commun avec la Russie. Il faut également revoir le projet européen qui ne doit pas s’occuper uniquement de TVA et de taille de concombres mais de défis essentiels face à la Turquie d’Erdogan, l’afflux de migrants, la démographie. »
Cette déclaration se passe de tout commentaire.
Et on se reportera avec profit à la déclaration du cardinal Burke (que j'ai cité dans mes articles précédents) qui affirme sans l'ombre d'une hésitation que l'islam désire conquérir le monde. Et qui le prouve.
Il arrive un moment où devant l'afflux de signes concordants, le doute n'est plus possible sauf à se boucher les yeux par bêtise, par lâcheté ou par complicité. Un peu comme dans le fameux sketch de Raymond Devos dans lequel un personnage très naïf hébergeant un de ses amis depuis plusieurs jours et rentrant chez lui après son travail, s'aperçoit d'abord que son ami est vautré devant la télévision, qu'il porte ses pantoufles et sa robe de chambre, qu'il boit son vin.... et qui en vient à se demander (sans y croire) : " mon divan, ma télé, mes pantoufles, ma roche de chambre, mon vin…. et pourquoi pas ma femme ???"
Nous en sommes là. Le constat s'impose à nous dans toute sa clarté : une idéologie violente et hostile commune à plus d'un milliard d'individus plus ou moins complices [le communiqué publié dans Dabiq parle bien de "nation musulmane" -* au singulier - "contre les nations infidèles" au pluriel] cherche à asservir l'Occident
– elle a une masse de manoeuvre : l'immigration arabo-musulmane
– des outils juridiques : nos propres lois chargées de nous désarmer spirituellement et juridiquement
– des complices et des transfuges : nos responsables politiques et religieux
- sans oublier ceux qui haïssent tellement leur patrie (pour toutes sortes de raisons idéologiques ou de frustration personnelle) qu'ils jouissent par avance de la savoir subvertie et détruite
– des faire-valoir : la sphère merdiatique (inféodée à des annonceurs depuis longtemps passés au "mondialisme" et qui se foutent de l'avenir de la France comme d'une guigne) qui chante sur tous les tons de la gamme l'air de "l'islam religion de paix et de tolérance".
Georges Marchais, quelques années avant l'effondrement de l'URSS sous le poids de ses tares et de ses crimes, avait fait rire le monde entier en déclarant que "le bilan du régime soviétique était globalement positif". Et cette déclaration est restée comme emblématique de la bêtise idéologique.
Du comediante Georges Marchais, on est passé aux tragediantes, en commençant par François le Père indigne, qui nous serine n'avoir rien craindre d'un système politico-religieux qui a déclaré la guerre à l'institution divine qu'il est chargé de guider et de protéger alors que ce système multiplie les manifestations de haine et de violence partout où il s'est installé.
Je crains que, contrairement à Marchais qui nous faisait rire, ces tristes sires ne restent dans l'Histoire que comme ceux qui y auront inscrit leur nom en lettres de larmes et de sang. Nos larmes et notre sang sinon les leurs.
Louis SAINT MARTIN
Bonjour Monsieur Saint Martin,
Je me permets de vous reprendre sur un point mineur.
En 1965 le PCF n'a pas présenté de candidat à l'élection présidentielle,
ayant fait le choix de soutenir François Mitterrand qu'il ne considérait pas
comme un concurrent dangereux car il était alors à la tête d'une petite formation politique.
Le Parti n'avait pas envisagé les effets mécaniques d'une élection présidentielle.
Il est vrai que c'était la première du genre en France.
C'est à l'élection présidentielle de 1969 que le PCF obtiendra 21,7 % avec la candidature
de Jacques Duclos.
Cordialement à toi, camarade.
Vous avez parfaitement raison : en écrivant je pensais "1969" mais dans le feu de l'action (je n'ose dire de l'inspiration...sourire) j'ai écrit "1965"....où j'ai failli voter Mitterrand tant je méprisais le comportement inqualifiable que De Gaulle avait eu avec les Français d'Algérie et les Musulmans fidèles à la France.
Je suis arrivé en retard de 5' au bureau de votre de ma circonscription: je n'ai donc voté ni pour l'un ni pour l'autre que j'associe dans une commune abomination.
Merci de votre message
Bien à vous.
LSM