[1] "Très vacillante"' depuis le véritable miracle du sursaut "Algérie française" du 13 mai 1958 qui avait rassemblé des dizaines, voire des centaines de milliers de participants dans les grandes villes, toutes communautés confondues, venus manifester leur attachement à la mère Patrie; manifestations pendant lesquelles, le FLN, atterré et découragé ne trouva pas la force de commettre le moindre attentat.
Hélas, ce sursaut, détourné de sa finalité réelle, fut instrumentalisé par les gaullistes très actifs à Alger, et il ne servit qu'à porter au pouvoir le pire adversaire qui soit de l'Algérie française, avec le PC et ses traîtres actifs bien sûr, je veux parler de général De Gaulle….qui n'a jamais été aussi efficace et dur que lorsqu'il avait à combattre ses compatriotes.
Si bien que cette date du 13 mai 1958 qui fut à l'origine de la Vème république, constitue la date du hold-up politique et de la "journée des dupes" les plus remarquables de notre Histoire de France. Rien de bon ne pouvait sortir d'une telle duplicité et d'une telle trahison. L'état de notre pays – directement lié aux origines malsaines de nos institutions actuelles - en est une illustration éclatante.
Rien de bon ne peut naître de l'illégitimité, de la transgression et de la forfaiture : toute la tragédie grecque nous en avertit depuis plus de vingt cinq siècles.
[2] J'écris "Notre" parce-qu'en aucune façon, je ne puis considérer que le pape, élu dans des conditions conformes aux lois de l'Eglise, n'est pas "notre" pape. Je ne serais pas catholique. Mais, dans le même temps, je ne peux ignorer que celui qui a été élu à la Chaire de Pierre, semble oublier en permanence qu'il est le Vicaire du Christ sur Terre, qu'il est contraint par son statut même, statut institué par Notre Seigneur Lui-même, d'enseigner les Nations et de les baptiser "au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit" et non de les encourager dans leurs délires hérétiques.
On m'accusera d'"intégrisme" de "sédévacantisme" et autres péchés dignes du bûcher médiatique et bien-pensant des catho conciliaires, mais je m'en moque comme de ma première brosse à dents. Je m'appuie sur deux mille ans de théologie catholique, sans cesse actualisée et confirmée, pour dire que ce que déclare le "pape" n'est souvent pas catholique parce-que contraire au magistère contant de l'Eglise. Je reconnais, je le répète, que François est bien le pape de l'Eglise catholique, mais c'est le pape d'une Eglise qui, dans sa grande majorité, du moins en France, a pratiquement apostasié les vérités sur lesquelles l'Eglise du Christ a été bâtie. Donc, en tant que baptisé, confirmé et dans la pleine acceptation des lois et de l'autorité de l'Eglise, j'ai parfaitement le droit d'apporter une critique virulente concernant les agissements de certains responsables "conciliaires" qui frisent si bien l'apostasie qu'ils en ont les cheveux roussis. En commençant par celui qui s'obstine à se faire appeler l'Evêque de Rome en oubliant qu'il est d'abord et avant tout le "vicaire du Christ" (NB)
Mais je reconnaîtrai sans réserve comme "mien" le pape quand il abandonnera le langage humaniste et lénifiant du progressisme maçonnique et du mondialisme, les arguments du relativisme religieux, celui du syncrétisme déguisé en œcuménisme - c'est à dire quand il parlera en "pape"; quand il se contentera de nous rappeler, contre vents et marées, mais avec ses propres mots, cette vérité religieuse dont ses prédécesseurs ne se sont jamais écartés avant Vatican II.
Si je me trompe, que Dieu m'ouvre les yeux (tiens ? on retrouve le tire de l'article !) si ma pensée est droite, que Dieu m'y maintienne.
(NB) Vous trouverez une très éloquente explication de ce qu'est la notion de "vicaire du christ" de ce que cela implique de celui qui a l'honneur de la porter et du droit qu'ont les chrétiens de dénoncer les erreurs de leurs clercs, y compris du pape, quand ils s'éloignent des enseignements du magistère. Et ce droit remonte aux origines mêmes de l'Eglise lorsque saint Paul critiqua publiquement des décisions de Pierre qui contrevenaient à la foi de l'Eglise. Ce que Pierre reconnut et dont il s'amenda.
[3] J'ai expliqué, dans un autre article consacré à l'étude du thème du pape Françaois, combien les Sagittaires peu ou mal intégrés, avaient tendance à tout mélanger et à pratiquer des amalgames de bric et de broc. C'est sans doute la raison pour laquelle François parle de macédoine car c'est l'image même de sa pensée qu'il nous révèle là.
[4] On pourrait d'ailleurs en dire tout autant du "protestantisme" qui a toujours avancé 1/ en prétendant vouloir réformer et non détruire (c'était la takiyya de l'époque) ce qui a permis d'abuser nombre de personnes 2/ et surtout par les armes des princes qu'il avait moralement autorisés à s'emparer des biens de l'Eglise catholique d'alors et dont il avait encouragé le désir orgueilleux de domination, puisqu'ils devenaient "Chefs de l'Eglise" de leur pays. De nouveaux petits papes, des "papounets" en quelque sorte…
L'image qui me vient en tête est dans un film sur les vampires, avec Klaus Kinsky et Isabelle Adjani. Vers la fin l'héroïne erre seule dans une ville dévastée, les autres habitants mourant de la peste ou se livrant à toutes sortes d'ivresse, ou gisant cadavres abandonnés. Les vampires font la loi. Ca se termine mal.
Oui, cela ne peut que mal se terminer....avant les renouveaux providentiels.