Nous devons l'invention d'un nouveau concept – la conosophie – à Georges Pompidou, probablement le seul président vraiment cultivé de la Vème et qui, à une question que lui posait un journaliste sur l’affaissement culturel général, avait répondu simplement : « Voici venu le temps des conosophes ». Parole prémonitoire quand on écoute parler nos deux derniers présidents, dont l'un semble avoir appris le français à Bab-El-Oued et l'autre dans un établissement de ZEP.
J'ai repris le concept et l'ai adapté à ma tournure philosophique en décidant de vous rapporter quelques perles des "conosophes" mis sur orbite de la "conosphère" politique par la "conovolontégénérale" si chère à Rousseau.
A quand un robot à l'Elysée ?
Vous me direz que ce ne serait pas plus ridicule que d'y avoir envoyé successivement un ouistiti levantin plus menteur qu'un arracheur de dents puis une sorte de notaire libidineux. Certes, mais restons sérieux.
Saviez-vous qu'il s'est trouvé des parlementaires dits européens pour proposer de doter les robots d’une forme de « personnalité ». En termes clairs ces braves gens veulent voir les robots les plus évolués reconnus par la Commission européenne comme des « personnes électroniques » ! Dotées de droits et de devoirs comme vous et moi.
Rassurez-vous (mais gardez un œil ouvert) : il paraît que la proposition de motion n'a aucune chance d’aboutir, et même si elle était adoptée par la volière de Strasbourg, elle n’aurait aucune force de loi.
Le problème n'est pas donc là pour le moment. Il est ailleurs. Et bien plus grave qu'on ne l'imagine. Que ce soit pour régler les problèmes liés à la robotisation croissante de l’industrie ou d’autres secteurs de l’activité humaine, nous nous en battons l'œil car il n'en demeure pas moins que nous en sommes arrivés à assimiler le robot à l’homme !
Est-il manifestation plus éclatante de l'orgueilleuse volonté de l'homme d'évincer le Créateur de Sa propre Création en la peuplant de créatures conçues par lui auxquelles il accordera les mêmes droits ? Quant aux devoirs….quand on constate l'état de déliquescence de notre société, il serait vain d'en parler.
Mais pourquoi s'étonner ou s'indigner ?
Dans un temps où on dénie à l'embryon toute humanité ce qui permet de le découper en pièces détachées dans le ventre même de sa mère pour fournir les cliniques où officient des "médecins" tout droits sortis d'un film d'horreur;
Dans le temps où l'on fait subir le même sort à des enfants ou de jeunes adultes enlevés par milliers tous les ans (et pas seulement dans les pays en éternelle "voie de développement") pour alimenter le "marché" de la transplantation anonyme et clandestine;
Dans ces temps de ténèbres où la Sainte Trinité est remplacée dans le cœur de nos responsables par la triade Satan-Belzebuth-Lucifer est-il vraiment surprenant qu'on accorde à des pièces métalliques et des circuits électroniques ce qu'on refuse à nos semblables "créés à l'image et à la ressemblance de Dieu ? "
Condamner ceux qui dénoncent les crimes ?
Saviez-vous que le militant pro-vie David Daleiden a été mis en examen à la suite de son enquête sur le Planning Familial US ?
Son crime ? Il avait réussi à prouver, vidéo à l'appui, les pratiques inhumaines de trafic d’organes de bébés avortés par Planned Parenthood America.
Comment ? Daleiden et sa collègue Sandra Merritt s’étaient fait passer pour des négociateurs travaillant pour le compte d’une société fictive de biologie humaine, Biomax.
Et ces deux personnes de se retrouver poursuivies en justice "pour trafic d’organes humains", alors que, bien au contraire, ils apportaient des preuves accablantes des pratiques abominables du Planning Familial grâce à une interview en caméra cachée d’une responsable du Planning avec vidéo d’une dissection d’un bébé avorté de 20 semaines !
C'est un peu comme si les fameux journalistes qui ont réussi à faire tomber Nixon, s'étaient retrouvés accusés d'être les responsables du scandale du Watergate ! Ou Brigitte Bardot accusée de la responsabilitée du massacre des bébés phoques du simple fait qu'elle le dénonçait !
C'est ainsi désormais dans notre monde inverti et subverti : ce sont ceux qui dénoncent les turpitudes et les abominations des responsables qui se retrouvent mis en accusation par ceux qui les commettent ! C'est normal puisque ce sont ces mêmes turpitudes et abominations qui sont devenues le "bien" et défendues comme telles par nos tribunaux qui tremblent devant les Sanhédrin modernes : le féminisme déjanté, les "droits de l'homme" (dont sont exclus les bébés à naître) les différents "antiracismes" pourvoyeurs de l'invasion de l'occident, la "non-discrimination" qui oblige les nationaux à plier l'échine devant leurs envahisseurs, etc….
Entre autres considérations, cette mise en accusation montre la puissance du Planning Familial et de ses réseaux (fort encouragés par un Obama plus luciférien que permis).
Mais tout espoir de voir l'humanité revenir à la raison n'est pas éteint.
En effet la Cour vient d'abandonner un des chefs d'accusation contre les prévenus travaillant pour le mouvement pro-vie américain : le Center for Medical Progress.
Le juge Bull a estimé mercredi que le chef d’accusation retenu par le Grand Jury du comté de Harris le 25 janvier dernier ne contenait pas d’éléments permettant de justifier une exception à la loi sur la liberté d’information.
On apprécie d'autant mieux le courage du juge Bull (dont la traduction est "taureau" si je ne m'abuse) que dans notre démocratie de plus en plus sournoisement totalitaire il n'est pas un concept aussi aussi vicieux que celui de "liberté d'information" dont la définition est rigoureusement soumise aux diktats des lobbies idéologiques : maçonnerie mondialiste, ligues dites anti-racistes, tiers-mondistes, immigrationistes, progressistes, abortistes, homosexualistes dont toutes ont une point commun : la haine du christianisme, de notre culture, de la famille, des peuples enfantés par l'Histoire…et de la vie.
Mais n'allez pas vous réjouir (ou vous désoler, suivant votre propre code moral) : David Daleiden "reste cependant poursuivi pour falsification d’un document gouvernemental : l’utilisation d’un faux permis de conduire au nom fictif de Robert Sarkis afin de pouvoir accéder aux bâtiments du Planning Familial. Si cette accusation est maintenue, lui et Sandra Merritt encourent une peine de 20 ans de prison"…
Car il est évident dans cette affaire – et beaucoup le dénoncent - que le "Parquet" (c'est à dire l'accusation) n'est que le bras armé du Planned Parenthood vendeur d'organes humains qui dispose de très puissants appuis dans les milieux politiques "progressistes" US.
Il est tout aussi évident que par un de ces tours de force incroyables dont "la justice" a le secret, c'est l'assassin qui revêt la grande robe rouge de l'accusation pour poursuivre et condamner ceux qui dénoncent ses propres crimes.
On se souviendra peut-être (pour les lecteurs qui ont quelque culture d'histoire contemporaine) de la célèbre réplique de Charles Maurras - ardent patriote poursuivi pour intelligence avec l'ennemi - à l'avocat général lors de son procès :
" Les hommes qui sont justiciables du peloton d’exécution, ce sont ceux qui ont poussé à la guerre (. . .) Accusé d’intelligence avec l’ennemi, je vous ai demandé de le prouver. Vous ne l’avez pas fait. Vous n’avez tenu aucun compte de ma démonstration. Le violent, c’est que vous soyez à la place où vous êtes et que je n’y sois pas ".
Aujourd'hui ce sont les femmes et les hommes qui défendent la vie, la famille, la protection des enfants à naître, celle des enfants déjà nés soumis à la propagande d'une Education devenue folle qui les souillent sous prétexte de les instruire; ceux qui défendent la vision de l'homme et les principes moraux sur lesquels notre société et notre civilisation se sont construites; ce sont ces femmes et ces hommes qui sont mis en accusation et ce sont les pollueurs/fossoyeurs de cette société et de cette civilisation qui sont à la barre de l'accusation.
Pour combien de temps encore ?
Nous dépassons là, et très largement, le cadre politique pour entrer dans le domaine de l'action providentielle qui nous échappe….
Un des plus beaux produits de la Conosphère politique : le "padamalganisme"
Vous n'ignorez sans doute pas que Sadiq Khan, Afghan d'origine et musulman "modéré", est le nouveau maire de Londres. Vous l'ignoriez ? Comment est-ce possible alors que toute la classe médiatique et hétérophobe (c'est souvent la même) a failli se pâmer de bonheur lors de son élection ?
Bref. Ce digne homme, qui a prêté serment devant la Reine sur un Coran acheminé d'urgence à Buckingham (la Reine n'avait qu'une Bible, la malheureuse) et qu'il y a d'ailleurs laissé en déclarant que "cela servirait la prochaine fois" (quel homme prévoyant que ce Sadiq pourvu d'un prénom si évocateur…); ce digne homme qui s'est présenté durant sa campagne électorale "non pas même comme un musulman modéré, mais comme un non pratiquant agnostique venu d’une famille musulmane" ("le pauvre homme", aurait dit Orgon en écrasant une larme) ; ce digne homme donc s'est fait remarquer pendant toute la campagne électorale sur le Brexit par la présence très ostentatoire de l'islam à ses meetings, et plus encore par celle de femmes voilées, reléguées – il est vrai – au fond de l'assistance.
Ce qui prouve bien qu'il est vraiment "modéré" car dans le cas contraire, au lieu de tapisser le fond des salles de meeting de Sadiq (je n'arrive pas à me faire à ce prénom, et vous ?) elles fussent restées chez elles à rouler le couscous.
Au lieu de quoi, l'islam "éclairé" qui est en train de gangrener la vie politique anglaise avant de gagner tout le continent, accepte que des femmes soient vues en public mais à condition qu'elles restent voilées et se tiennent à la place qui est la leur dans la société musulmane : les méchantes langues diront "près des vestiaires et des toilettes".
Les photos publiées par les médias partisans du Brexit sont sans aucune ambigüité. Elles ont été largement diffusées. Je n'y reviens pas.
Et voilà donc que notre Lord-Maire de Londres, ce progressiste d'hier (avant l'élection) se dévoile (un comble en l'occurrence !) aujourd'hui qu'il est élu, en vrai "conservateur" fidèle aux prescriptions de l’islam traditionnel.
Oh, n'allez pas croire que cette attitude envers les femmes est liée à une quelconque volonté de les soumettre, de les humilier ou de les traiter un peu mieux que des esclaves (plus ou moins sexuelles)! Que non pas!
Ce brave Sadiq et néanmoins galant homme, est parti en croisade contre les représentations « irréalistes » du corps – en particulier celui des femmes – dans les publicités placardées sur les bus. Il s'agit d'interdire les publicités qui imposent une « pression » sur les femmes pour se conformer à une image de corps parfait ! Ah, mais !
Sadiq mais pas sexiste quand ce brave maire déclare : « Je suis très préoccupé par ce type de publicités qui peuvent rabaisser les gens, particulièrement les femmes, et leur donner honte de leur corps. Il est grand temps que cela cesse. »
C'est beau comme de l'antique, non ? Et on voit que Sadiq est avocat, c’est-à-dire rompu à faire dire au langage n'importe quoi et son contraire pour appuyer une thèse. Ici il a habilement utilisé une rhétorique féministe (ne pas faire « honte » de leur corps aux spectatrices moins bien pourvues par la nature que les femmes prises en photo en maillot de bain dans la crétinosphère des magazines à papier glacé) pour faire le plus grand plaisir aux organisation musulmanes qui occupent le Royaume Uni, qui – voyez la coïncidence - toutes demandent « plus de modestie » aux femmes. Et si, par la même occasion, ces organisations demandaient aux hommes un peu plus de loyauté envers les institutions des pays qui les accueillent pour leur éviter de mourir de faim dans le bel islam qu'ils ont quitté ?
Si on approfondissait un peu ces manifestes de vertu censés défendre la pudeur et l'estime de soi "des femmes" il faudrait d'abord se demander pourquoi "des femmes" – en l'absence de toute contrainte – en arrivent à s'exhiber en bikinis ou pire, en sachant qu'elles véhiculent ainsi une image qui ne les honore en rien, image qui ne peut au contraire que les "rabaisser", leur "faire honte de leur corps" etc (voir la rhétorique ci-dessus).
Lorsque je lis les couplets féministes sur le sujet : instrumentalisation honteuse du corps de la femme, etc - je me demande toujours pourquoi il se trouve tant et tant de femmes absolument ravies de s'exhiber quasi nues, pour "faire baver les mecs" comme disent mes petits-fils, et se faire un peu de fric en sus ? Et, si on quitte le domaine de la mode et de la pub qui seraient au service du "machisme" dominant en obligeant les femmes à devenir de simples objets sexuels, je me demande pourquoi tant et tant de femmes, hors toute justification professionnelle, s'habillent et s'exhibent dans les rues de nos villes comme certaines prostituées à la recherche du client ? Et souvent au mépris de toute considération esthétique....
Bref, le brave Sadik met le doigt où ça fait mal, mais pour de très mauvaises raisons car, la pudeur et la protection de l'image féminine en tant que valeurs morales ou spirituelles, il s'en soucie comme de sa première raha loukoum étant donné le statut de la femme en islam dont rend parfaitement compte la description du "paradis d'Allah" où les seules femmes évoquées sont des esclaves sexuelles de moins de seize ans mises à la disposition des valeureux musulmans pour les siècles des siècles....en concurrence, il est vrai, avec de beaux et accueillants éphèbes. Il faut de tout pour faire le paradis d'Allah.
Et puisqu'on parle du statut des femmes en islam et du "padamalgamisme"…..
En Afghanistan, une petite fille afghane, âgée de huit ans, a été victime [et combien d'autres comme elle dont nous n'entendrons jamais parler ?] d’une tradition barbare justifiée par l’exemple du prophète de l’islam, postée sur FB par Mustafa Kazemi, journaliste afghan, correspondant de guerre.
Je passe sur les circonstances de la diffusion de cette tragédie, vous les trouverez clairement exposées en suivant le lien ci-dessus.
Voici les faits crûment exposés.
Selon la tradition religieuse, en vigueur dans certaines régions afghanes [j'ai longtemps vécu en Algérie et je peux certifier que cette "tradition" y était florissante dans les années 40 à 60[1]] , " une fillette fut vendue en mariage à un mollah âgé de 50 ans, déjà marié et père de nombreux enfants. Son petit corps ne put supporter l’assaut sexuel brutal de son « mari » bourreau et la petite se vida de son sang, sans que ce dernier n’intervienne pour la sauver. Cet enfant n’avait pas plus de valeur à ses yeux qu’un pauvre animal qui succombe sous le poids de sa charge…. Cette petite fille ne fêtera jamais ses neuf ans, car elle ne survécut pas à sa « nuit de noce ». Elle fut brutalement, sauvagement, assassinée par son « mari » dans l’accomplissement de son « devoir » conjugal.
L’enfant était l’une des filles d’un homme dans la trentaine. Pour une raison inconnue, il donna sa fillette en mariage au mollah de son village contre une importante somme d’argent.
Les deux familles s’accordèrent sur le prix de vente de l’enfant, à payer par le futur mari à la famille de la « fiancée » et fixèrent la date du mariage, lors d’une réunion tribale, puis elles organisèrent la fête de mariage, le mariage et le Nekah ( processus religieux au cours duquel une femme est officiellement mariée à un homme) et la fillette devint la deuxième femme du mollah de 50 ans.
La mariée avait seulement 8 ans et ne connaissait rien au sexe, au mariage, à l’amour charnel, à la virginité, elle n’était encore qu’une enfant, et même les adolescentes, dans cette région du pays, ne reçoivent aucune une éducation sur une vie sexuelle saine.
La fête était terminée ... il était temps pour le mollah, non pas de faire l’amour, car cela impliquerait d’éprouver un sentiment, mais d’avoir des relations sexuelles avec sa femme-enfant, d’assouvir ses désirs pervers. Il ôta les vêtements de la petite mariée, se déshabilla et s’approcha de sa nouvelle femme, âgée rappelons-le de huit ans, pour accomplir son « devoir » d’époux.
Ce mollah, au physique imposant, était lourd et avait un gros pénis. Il se jeta sur l’enfant et commença à pénétrer le vagin de la petite fille. Après plusieurs essais infructueux, le mollah se sentit frustré. Il ne voyait pas et ne voulait pas voir que l’enfant, qui allait bientôt mourir, sous ses assauts furieux, était très frêle et toute menue et que l’orifice de son vagin était trop étroit. Seul l’assouvissement de son désir malsain avait de l’importance. Le mollah prit alors le couteau, qu’il portait toujours avec lui dans sa poche, et déchira le vagin de l’enfant du clitoris vers le haut et vers le bas jusqu’à l’anus, afin d’agrandir suffisamment le vagin pour lui permettre de le pénétrer.
La pauvre petite commença à saigner, à un très mauvais moment pour son « mari » mais l’infecte mollah était beaucoup trop frustré de ne pouvoir la pénétrer pour se soucier des conséquences de son acte barbare, du saignement de l’enfant ou des blessures qu’il lui avait infligées. La fillette avait son foulard enfoncé dans sa bouche, elle pleurait terrorisée, seule face à ce monstre, elle ne pouvait pas crier, car il ne fallait pas éveiller l’attention des personnes à l’extérieur de la chambre. Selon la coutume, en vigueur dans certaines régions afghanes, le marié doit montrer le morceau de tissu, avec lequel il a essuyé le sang de l’hymen de sa femme, comme preuve de sa virginité.
Le mollah, en rien rebuté par l’atrocité de son acte, entra son pénis dans le vagin de la petite fille, qui saignait déjà abondamment, suite aux blessures et eut des relations sexuelles bestiales avec la petite, sur le lit couvert du sang de l’enfant, puis, il se leva et se nettoya.
L’enfant continuait à saigner, mais personne n’était là pour l’aider. Le mollah ne pouvait pas demander de l’aide, car cela aurait été considéré comme une honte pour lui et la famille de la petite mariée. Cette dernière savourait tranquillement une tasse de thé dans la pièce voisine. La petite mariée de huit ans continua à saigner et entra dans un choc traumatique à cause des hémorragies internes provoquées par la violence des relations sexuelles forcées ». Elle se vida de son sang et le lendemain matin, au lever du soleil, l’âme de la fillette, dont le petit corps fut profané et souillé par un pédophile de la pire espèce, avait rejoint les étoiles dans la voûte céleste.
Le mollah déclara qu’ elle était pâle et avait ses yeux grand ouverts quand elle exhala son dernier souffle. Elle gisait dans son sang, sur un drap rougi par le sang séché. Elle était livide, car elle était exsangue . Ses yeux étaient ouverts, car elle avait tremblé en mourant et ses mains étaient en position de prière, comme si elle récitait la prière de sa propre mort.
Le mollah appela la personne, qui, par la suite, informera le journaliste de ce crime horrible, et lui demanda de nettoyer la chambre et de trouver une raison pour expliquer la mort de sa « femme » aux amis et membres de la famille. Comme cette personne était un ami personnel du mollah, un proche, il fit ce qu’il lui demanda et se débarrassa des draps ensanglantés. Puis ils enveloppèrent le petit corps martyrisé dans un drap blanc et informèrent la famille et les autres invités de la mort de la « mariée ».
L'essentiel est dit, pour de plus amples détails sur cette affaire proprement satanique, vous pouvez, je le répète, vous reporter à l'article en "lien".
Les padamalgamistes se récrieront - comme l'ont fait certains musulmans de bonne foi d'ailleurs - que de tels agissements sont l'œuvre de Sadiq - oups ! pardon - de sadiques comme on en trouve partout dans le monde.
Certes, mais il semblerait que ce "sadisme" soit une véritable institution islamique quand on sait comment se comportent les vaillants combattants des différentes bandes islamistes au Moyen Orient et en Afrique où viols collectifs et massacres de masse, entre autres de fillettes prépubères, sont monnaie courante - quand on sait aussi comment se sont comporté ces charmants "migrants" moyen-orientaux (pour lesquels nos médias ont les yeux de Chimène) en agressant un millier de femmes la nuit de la saint Sylvestre à Cologne – quand on sait que le viol et la prostitution d'enfants (garçons et fille) sont monnaie courante dans les camps de réfugiés musulmans où ces enfants sont livrés à eux-mêmes, etc….
Comment s'en étonner quand on lit certains versets du Coran, certains hadiths généreusement attribués à Mahomet qui n'a vraiment pas besoin de cela, ou certains jugements proférés par des "autorités" actuelles de l'islam sur la façon de traiter les femmes et les filles ?
Et surtout quand on sait que Mahomet lui-même vouait une passion amoureuse quasi exclusive à sa bien-aimée Aïcha qu'il épousa à 6 ans et déflora à 9 ? Quelle patience !
Un prophète – que nous qualifierions aujourd'hui de pédophile - vénéré par un milliard cinq cents millions de fidèles !
Avouez que cela fournit les meilleures justifications possibles pour ouvrir toutes sortes de perspectives aux amateurs de chair fraiche.
Refermons notre petite chronique de la conosphère pour aujourd'hui en constatant, une fois de plus, combien la connerie humaine peut entraîner de crimes, sans pourtant jamais les justifier aux yeux de la morale naturelle que le Créateur à inscrite dans le cœur de l’homme et qui semble tellement ignorée par une part importante de l'humanité, toutes religions confondues.
[1] C'est ainsi qu'un de mes amis, médecin militaire à l'époque, vit un jour arriver dans l'hôpital où il intervenait, une fillette de douze à quatorze ans dans un état critique. Elle avait été "mariée" (c’est-à-dire vendue par ses parents) à un vieillard libidineux de quatre-vingt printemps qui, incapable d'assurer ses fonctions de mâle (si importantes en terre d'islam où on est toujours obligé d'affirmer sa virilité par la brutalité…sans doute parce-qu'elle ne va pas de soi) n'avait rien trouver de mieux que de forcer son hymenavec sa canne avant de la violer….
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