Je ne vous présenterai pas mes vœux cette année.
La tradition en est sans doute charmante mais elle apparaît comme particulièrement dérisoire en cette période de notre Histoire où, depuis quarante ans, nous avons commencé d’accepter de « nous suicider », comme le diagnostique Eric Zemour. Suicide en tant que culture, en tant que nation, en tant qu’Etat. On ne souhaite pas « bonne année ! » à un peuple qui a décidé de se laisser couler corps et biens.
Je préfère donc vous dire « bon courage et que Dieu vous garde » par Toutatis et Bélénos !
Et, peut-être aussi, « bonne chance ».
Que celles et ceux qui ressentent la même indignation que moi en contemplant l’état de déréliction spirituelle, morale, intellectuelle, dans lequel nos « élites » ont plongé notre pays, gardent au cœur l’Espérance. Les « élites » ne sont pas le peuple et celui-ci finira bien par les renvoyer à leurs turpitudes domestiques en changeant radicalement le système dans lequel nous vivons. Car il ne servirait de rien de changer une équipe par une autre servant les mêmes idoles et complice des mêmes trahisons.
Ceux qui ont pris connaissance de mes réflexions sur les grands courants anthropocosmologiques qui scandent les étapes de nos évolutions et régressions spirituelles, politiques, morales et sociétales, savent que nous vivons depuis deux ans sous la plus importante série de dissonances URANUS-PLUTON[1] que nous ayons connu depuis longtemps. Série qui nous ramène aussi bien aux temps de la révolution française, qu’à ceux de la montée irrésistible du nazisme autorisée par notre lâcheté dans les années 30, qu’à ceux de Vatican II qui ont fait de l’Eglise « un navire qui prend l’eau de toute part et prêt à sombrer » et enfin de « mai 68 », périodes de grandes subversions, transgressions et inversions.
Pour s’en tenir à ces deux dernières séries de bouleversements des années 60, le carré croissant sous lequel nous vivons actuellement, marque symboliquement la phase d’extension maximum de la crise de l’Eglise après Vatican II et la victoire qui semble définitive de l’idéologie soixante-huitarde relativiste, nihiliste, transgressive et liberto-libertaire. Cette série de carrés croissants (7 au total) se termine en mars 2015, mais ses effets se propageront bien au-delà de cette date.
Ces dissonances urano-plutoniennes se sont manifestées politiquement par l’arrivée au pouvoir, en 2012, de la plus effarante équipe de bras cassés, de tourneboulés et quelquefois de voyous, qui puisse se concevoir. Je pense notamment à tous ces Ministres et Conseillers socialistes et « près du peuple » - Ô combien - obligés de démissionner parce qu'ils tapaient dans la caisse d’une manière ou d’une autre.
Equipe qui a même réussi à faire oublier l’agitation stérile et impuissante de ce bonimenteur de foire qui l’avait précédée avec sa propre équipe de pieds-nickelés et qui arrivait à nous faire prendre des échecs pour des avancées sociales, une soumission suspecte au mondialisme bruxellois pour une politique identitaire ; bref, à nous faire avaler des couleuvres en affirmant nous donner du caviar.
Incapables de résoudre un seul des problèmes pratiques auxquels nous sommes affrontés, ces agités du bocal fixés névrotiquement aux mots d’ordre lancés, à des titres divers par les Reich, Marcuse, Debord, Deleuze, Althusser, July, Kohn-Bendit, Sauvageot, Geismar et autres comparses il y a près de cinquante ans, ont à cœur de s’illustrer en attaquant à grands coups de hache les valeurs fondamentales qui constituent l’identité de notre pays, les fondamentaux de notre civilisation et de toute civilisation. Un seul combustible pour alimenter leur énergie : la haine, la révolte, le non serviam de Lucifer. Haine de notre nation, haine de notre Histoire, haine de notre identité, haine de nos valeurs chrétiennes, haine de la famille naturelle, haine de la Vie surtout.
Et c’est dans la seule manifestation de cette haine que cette équipe a montré quelque efficacité : pseudo-mariage homo, GPA (sournoisement encouragée), MPA (en bonne voie d’adoption), euthanasie (sans doute votée ce mois-ci pour le quarantième anniversaire de la loi Veil, ogresse de la République – 17.01.1975) théories psychotiques du genre et de l’indifférenciation sexuelle, féminisme hystérique et homosexualisme virulent, désarticulation de la famille naturelle, endoctrinement égalitaire scolaire, atteintes au droit d’expression (pas pour tout le monde bien sûr) sous couvert d’anti-racisme-droit-de-l’hommisme-égalitarisme-tolérance-non-discrimination, attaques venimeuses contre ce qui reste encore de Catholique dans notre vie publique : profanation quotidienne d’Eglises et de cimetières, interdiction imbécile de Crèches publiques. Et j’en passe.
Comme si l’Eglise dite de France avait besoin qu’on l’aide à se saborder toute seule, comme une grande.
Mais, dans le même temps et conformément à l’intuition de Hölderlin qui affirmait que « là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve » de puissantes réactions ont commencé à se manifester et finiront peut-être par l’emporter et à remettre le long fleuve de l’Histoire de France – qui en a connu bien d’autres -dans son lit : « Manif pour tous », les « Veilleurs » etc….
Mais le temps n’est pas encore venu de nous réjouir.
Nous en sommes encore à celui du constat, de la prise de conscience qui doivent précéder toute décision ou action.
Alors pour vous éclairer en ce début d’année, je vous offre quelques réflexions et analyses parues sous la signature de personnalités que je respecte particulièrement.
Vous en tirerez les conclusions que vous voudrez pour étayer vos bonnes résolutions de début d’année.
Voici d'abord une tribune du père Daniel Ange (Fondateur de Jeunesse-Lumière) parue dans l’Homme Nouveau N° 1581 du 3 janvier 2015.
C’est clair, c’est bref, c’est lapidaire et ne demande aucun commentaire.
Je cite :
« Ce que j’attends pour 2015 : rien de moins que… Le retour en gloire de l’Enfant de Bethléem, et le jugement des nations par ce même Enfant Roi.
Je l’attends avec une violente impatience, à la mesure de toutes les violences faites aux enfants d’aujourd’hui. L’enfant armé forcé de tuer, l’enfant esclave vendu sur le marché du sexe, l’enfant-objet fabriqué en labo squattant un caddie de sein, l’enfant-jouet perverti à l’école, le petit garçon changé en fille, l’orphelin programmé, obligé de dire maman à un monsieur barbu [j’ajouterai : ou papa à une virago en complet-veston]. D’un enfant, on pervertit le bon sens, viole la conscience, falsifie l’intelligence, trompe la confiance, finalement bousille l’existence.
Oui, je veux que Jésus en toute sa splendeur divine apparaisse Enfant pour dire : tu as blessé un enfant, c’est Moi que tu as blessé.
À défaut de cet événement vers lequel tend toute l’Histoire du cosmos, j’attends la conversion de tous ces criminels. De tous ceux qui persécutent violemment nos frères baptisés, en plus de 35 pays. J’attends une formidable rébellion du simple bon sens humain contre toutes ces aberrations destructrices de l’humanité en son nucleus. J’attends que le bon petit peuple se lève, se relève, se soulève comme il a magnifiquement commencé à le faire en France.
J’attends le surgissement de jeunes politiciens qui soient de courageux chevaliers de la vie à sauver, de l’amour à protéger, de la famille à défendre. Car déjà, je les vois monter audacieusement en première ligne.
J’attends pour l’Eglise une nouvelle Pentecôte qui fera surgir une multitude de bergers-prophètes, prêts à verser leur sang, pour arracher aux loups, les brebis confiées à leurs cœurs de pères.
J’attends qu’une multitude d’enfants et de jeunes Saints se révèle pour manifester que face à tant de virus de mort, Dieu suscite de vigoureux anticorps, prouvant que plus le Malin se déchaîne plus l’Esprit Saint se démène au sein de nos effrayantes ténèbres, allumant de brillantes étoiles. »
Certains de mes lecteurs jugent quelquefois mes propos un peu sévères.
A la lecture du père Daniel-Ange, je me sens rassuré et conforté.
Voici maintenant quelques extraits d’un article publié en ce même numéro de « l’Homme Nouveau » par Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, organisatrice de la Marche pour la Vie qui aura lieu le 25 Janvier prochain. Article intéressant car JM Le Méné montre clairement combien la loi sur l’avortement constitue « le passeport de toutes les transgressions » et donc de toutes les destructions. Ce qui apparaît clairement dans le thème de Simone Veil « la personne la plus admirée des Français » paraît-il. Je me demande si Hérode avait un thème qui se rapproche du sien et s’il était « l’homme le plus admiré des Juifs » en son temps. Questions auxquelles je n’aurai jamais de réponse bien sûr.
Je cite :
« …Se contenter de dire que l’avortement est un problème moral difficile ou une souffrance pour les femmes est insuffisant. L’avortement est d’abord le fait de tuer un enfant avant sa naissance. Cacher l’horreur de ce geste serait destinée, paraît-il, à ne pas culpabiliser, stigmatiser, donner mauvaise conscience à ceux qui procurent l’avortement ou qui y ont recours. Mais pourquoi faudrait-il dire que ce n’est pas une faute ? Veut-on que cela continue au rythme de 220 000 avortements par an depuis 40 ans ? Dans l’indifférence générale, comme si ce n’était plus un crime parce que une alliance de trahison et d’inconscience a bouleverser le sens du bien et du mal [2]? On sait que, pour les idéologues qui font l’opinion et qui nous gouvernent, la réalité de la nature est fasciste et qu’ils s’emploient à la réformer. Mais nous avons le devoir de dire les choses comme elles sont et non pas comme nous voudrions qu’elles soient.
En outre l’avortement est un problème politique très grave en plus d’être un problème moral. L’avortement est en effet un suicide démographique dont nous commençons seulement à mesurer les conséquences catastrophiques en ne pouvant plus payer les retraites aujourd’hui. Pas d’enfant, pas de retraite par répartition. Il manque 10 millions de Français.
Avortement de masse et immigration de masse : le compte n’est pas bon. Pierre Chaunu, Jean Foyer, Jérôme Lejeune et leurs confrères de l’Académie des Sciences Morales et Politiques l’avaient prédit il y a 40 ans. Pas un seul homme politique n’a la lucidité et le courage de saisir la dimension géostratégique de la corrélation entre avortement et démographie. Les gouvernants, de droite ou de gauche, préfèrent écouter des voix comme celle de Jacques Attali : avortement, euthanasie et faire croire que l’immigration va pallier le vieillissement.……
[…] Il n’est pas un seul « progrès sociétal » qui ne s’appuie explicitement sur l’autorisation, sans cesse plus libéralisée, de l’avortement. L’avortement est devenu le passeport de toutes les transgressions aux motifs qu’après avoir osé la mort de l’enfant avant sa naissance, le droit peut tout. Ce raisonnement produit un effet de cliquet (pas de retour en arrière)…. et une surenchère maîtrisée. Ainsi au nom de l’avortement, on a légalisé en quelques années l’industrie procréatique de l’eugénisme, le diagnostic préimplantatoire, le tri des embryons humains, leur congélation, leur utilisation comme matériau de recherche et leur destruction. L’engouement pour le clonage et l’exploitation de cellules souches embryonnaires ont invoqué l’avortement.
La légalisation de l’avortement est la matrice de toutes les audaces. Il n’est pas jusqu’au [pseudo et stupide] mariage entre personnes du même sexe qui ne se réfugie derrière la légalisation de l’avortement. La gestation pour autrui est bien obligée de s’en référer au dogme de la grossesse choisie. L’euthanasie n’échappe pas à la règle : n’est-ce pas au moins aussi rationnel de donner la mort en fin qu’en début de vie ? Comme pour l’avortement, on parlera d’un dispositif d’exception, strict, encadré, à réévaluer[3]. Et la peine de mort en fin de vie sera établie, définitive et marquée au coin d’une fallacieuse bienveillance. L’euthanasie est donc la prochaine menace contre la vie elle sera au cœur de l’actualité dès le début janvier……
Il est frappant de constater que les arguments en faveur de l’euthanasie sont exactement les mêmes que ceux en faveur de l’avortement. La vie n’est pas un don mais un dû ; nous la créons et la détruisons notre guise. L’État garantit cet individualisme forcené. La médecine, en rupture avec toute sa tradition, a accepté d’être chargée par l’État de l’exécution de ses basses œuvres, c’est-à-dire de mettre un terme à certaines vies humaines fragiles [.…]
Le rapport Claeys – Léonetti utilise les contorsions linguistiques de nature à faire passer la pilule d’une euthanasie politiquement correcte :
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créer un « droit à la sédation profonde » qui conduit à la mort. Même sans injection d’un produit létal, il s’agit là d’un geste euthanasique, dont le marqueur est la volonté de provoquer la mort (par le recours à des doses excessives de sédatifs antidouleurs et anesthésiants, plus importantes que celles nécessaire à un endormissement destiné à soulager la souffrance)
-
rendre contraignantes les directives anticipées. Il s’agit là d’une dénaturation de l’acte médical qui par essence ne peut pas être un acte qui tue et qui serait indûment imposé aux professionnels. Et d’une fausse liberté : présenté comme l’avènement de l’autonomie des patients, cette évolution va au contraire les rendre otage d’une société qui n’a plus les moyens de faire face au vieillissement et choisit la violence radicale.
Le scénario est tellement connu que l’angélisme n’est pas raisonnable. Ce qui sera présenté comme l’exception deviendra la règle, puis la transgression finira par être brandie comme un « droit fondamental »[4]. Les bouleversements que cette démarche systématique implique s’enchaîne comme des dominos et font tomber les uns après les autres les repères structurants de la société protecteur des vies humaines fragiles……
[.…] La suppression de la notion de détresse qui a été votée il y a un an banalise ce qui n’apparaît plus comme une dérogation exceptionnelle au principe du respect de la vie mais comme un geste médical anodin.
La résolution présentant l’avortement comme un droit fondamental n’a aucune portée normative mais est lourde de symboles. Elle situe le droit de tuer au-dessus du droit de vie.
Le plus grave réside dans le fait qu’il n’y a eu que sept députés à s’opposer à cette infamie[5]. En revanche, un certain nombre de députés de l’opposition ont même voté pour cette résolution. Tandis que d’autres erraient à l’Assemblée pour pouvoir dire à leurs électeurs qu’ils étaient là mais sans prendre part au vote. L’inintelligence et le manque de courage du personnel politique semblent sans limite[6]….
[….] Résister c’est s’accrocher au réel. Il faut dire et montrer la réalité de l’avortement et ce qu’il entraîne dans la destruction de la famille de la société. Tout ce que la bien-pensance nous a conseillé de faire depuis 40 ans, c’est-à-dire de nous taire, de ne pas montrer d’embryons ni de fœtus, pour ne pas choquer ceux qui avortent, doit être absolument repensé. La seule chose que craignent les pros-choix, c’est que la vérité sur l’avortement soit exprimée et visualiser. C’est donc cela qu’il faut faire.
Le salut viendra quand les femmes oseront sortir du silence pour raconter ce qu’elles ont vécu et témoigner personnellement. Alors, rien ne leur résistera.
Quant aux hommes, on attend qu’ils se réveillent de leur mise à l’écart par un féminisme hystérique. Le propre de l’homme c’est de protéger ses enfants. Quand ils retrouveront leur vocation, la famille ira mieux et la société aussi. »
-
Voilà une conclusion qui pourrait très bien inspirer nos vœux en ce début d’année 2015 où « l’ombre continue de s’étendre sur les terres du milieu » comme je l’évoquais dans un de mes précédents articles.
Les hasards, dramatiques, de l’actualité veulent que je termine cet article (qui a pris un peu de retard) le jour même de la tuerie qui a décimé la rédaction de Charlie Hebdo.
Rien, dans cette publication, qui puisse m’inspirer, même de très loin, intérêt ou estime. La dérision et le dénigrement cultivés pour eux mêmes ou mis au service d’idéologies que je méprise en manifestant une partialité agressive en contradiction avec la notion de liberté qu’on prétend défendre, me révulsent.
Je n’en suis que plus libre pour dire combien je suis violemment indigné qu’on puisse tirer à la kalachnikov sur des hommes et des femmes qui n’ont que leur plume pour se défendre.
Outre la radicale violence et l’insondable imbécilité qui lui sont propres, l’islamisme dit radical (mais en existe-t-il vraiment un autre ?) manifeste, une fois de plus, sa lâcheté constitutive : égorger des femmes et des enfants, enlever des collégiennes pour les souiller et les prostituer, torturer et massacrer des villages entiers de pauvres gens, brûler les maisons et les récoltes et maintenant tirer par surprise – « en traitre » comme on aurait dit dans mon enfance – dans le dos de journalistes totalement surpris dans leur travail et ne pouvant esquisser aucun geste de défense, achever un blessé tombé à terre, ne sont pas des actes de violence ou de guerre, ce sont des gestes d’inhumanité ou, mieux encore, de perte de toute humanité.
Rien ne peut justifier de tels comportements mais, étant donné la veulerie généralisée d’un occident avachi dans sa jouissance et son individualisme, engagé dans les délices de sa propre autodestruction, telle que la décrivent le père Daniel-Ange et JM Le Méné, je crains que nous n’en soyons qu’au début de notre calvaire.
Comment fustiger ces criminels fanatiques, comment les juger et les condamner, lorsque nous-mêmes, en nous abritant hypocritement derrière les cache-misères d’une « liberté » ou d’une « égalité » sans contenu, organisons le massacre légalisé de nos enfants à naître et, bientôt, de nos Anciens en difficulté ?
Au moins ces « fous d’Allah » pour criminels qu’ils soient, sont prêts à mourir pour leur « foi ». C’est-à-dire pour une cause qui les dépasse eux-mêmes. Cette « foi » fût-elle délirante.
Mais nous, à quoi sacrifions nous ces vies humaines dans nos avortoirs et nos services de gériatrie ?
Notre démarche est inverse de la leur : ils élèvent des holocaustes à leur « dieu » certes, mais ils acceptent d’être les victimes éventuelles de cette sanglante profession de foi, ses « martyres » comme ils disent
Nos holocaustes d’enfants à naître ont une finalité exactement inverse : ils sont destinés à préserver notre propre idolâtrie narcissique. Ils sont destinés à nous protéger du « sacrifice » d’avoir à élever des enfants, à les aimer, voire à nous oublier pour eux, comme le veut le sens même de la Vie.
Par-delà les lumières de la civilisation chrétienne, celle de l’Enfant-Roi venu racheter et sauver l’humanité en sacrifiant sa propre vie, nous avons régressé vers les temps mythiques où Saturne avalait ses enfants pour éviter d’avoir à se priver pour eux puis à leur céder la place.
Une telle culture n’a aucun avenir. JM Le Mené nous le rappelait à propos de la question de la démographie un peu plus haut.
Ainsi, tout compte fait et si on y réfléchit bien, nous ne sommes pas en position morale de nous indigner sincèrement de ce qui s’est passé ce matin dans les locaux de Charlie Hedo, car nous faisons pire, sournoisement et doucereusement, à raison d’une moyenne de 603 petites victimes innocentes par jour.
Quels vœux voulez vous émettre après de pareils constats ?
[1] Tous ces articles sont disponibles dans les archives du site…si vous avez quelque patience pour les chercher.
[2] Tous les soulignements sont de mon fait.
[3] On connaît la chanson en effet….
[4] Ce fut exactement le cas pour l’avortement de Mme Veil qui ne s’est jamais indignée des dérives de sa loi et qui s’en est, au contraire, félicité il y a peu de temps.
[5] Merci aux pantins dits « de droite » qui se posent en adversaires des dérives de gauche alors qu’ils les approuvent.
[6] Ils le sont. C’est d'ailleurs la condition sine qua non pour être accepté par le « système ».
J'ai appris que tant qu'il a existé une peine de mort et donc depuis des temps très anciens jusqu'au années 1980, l'Eglise acceptait que soit mise à mort une femme jusqu'à 5 semaines de grossesse. Après, il fallait attendre la naissance. Est-ce vrai?
Je ne saurais vous renseigner car j'ignore la réponse. Mais je peux dire que je n'ai jamais entendu parler de cette disposition qui me paraît fort contradictoire avec la position constante de l'Eglise sur le "respect absolu de la vie de la conception à la mort naturelle". Quelqu'un pourra peut-être nous renseigner....textes en mains bien sûr.
Mais je serais étonné que nous obtenions une confirmation, car, dans toutes les législations du monde qui acceptent la peine de mort, même les plus "laïques", je crois savoir qu'il y a sursis à la peine de mort pour les femmes enceintes.......Sauf pour ces merveilleux pays musulmans où on exécute aussi bien les femmes enceintes que les mineurs. Comme le Soudan par exemple qui a récemment condamné une femme enceinte de 8 mois, à la mort par pendaison, parce qu'elle refusait d'abjurer sa foi chrétienne.
Attention : "pas d'amalgame". Sans rire....
Je n'ai pas souhaité de vœux à mon entourage
les histoires des enfants abusés sont à vomir
en France les services sociaux SS sont de connivences avec avocats dans le cas d'un divorce
dans le cas des placements d'enfants ( manne financière) avec l'aide des conseils généraux de chaque département
quand à l'état haut fonctionnaire police gendarme élus préfet armée
cela est certain que les disparitions d'enfants ne seront jamais défendus
pas plus que " la fumeuse parole de l'enfant"
je me demandes comment un travailleur social peut dormir en connaissant cela
je me demandes comment les services sociaux avec l'aimable aide du lobby
les 5 cartels
celui de l'industrie
celui bancaire
celui religieux
celui politique
celui pharmaco chimique (voir nouveau embryon ) affreux
sans oublier les mensonges d'états et le manipulation de masse des médias
Non je ne souhaites pas " la bonne année ni l'an prochain"
porter à votre connaissance,
pour dire au monde faire suivre ,si vous en conviendrez
Tout est décidé dans notre dos , il est certain que le monde de demain n'ira pas mieux
mais de pire en pire
c'est un sal constat
Même réponse que pour votre précédent message : je laisse chacun libre de son opinion par rapport à vos dénonciations.
Bien à vous
https://explicithistoire.wordpress.com/2013/11/12/les-dessous-de-la-franc-maconnerie/
oublier du lien
non aux abus des placements en hôpitaux psychiatries (voir vidéo hôpital St Anne à Paris
non aux abus des enfants et trafics d'enfants ( référence au site "donde vamos enfants abusés")
non aux abus en maison de retraite ( voir vidéo L'or gris) très révélateur
avertissement : âme sensible s'abstenir
merci
Je fais écho à votre message. A chacun d'en vérifier le bien fondé en toute liberté.
ca devient de mieux en mieux ...
Et vous n'avez encore rien vu...