FLORILEGE DE PAROLES LIBERATRICES A L'OREE DE 2014
En prélude aux quelques réflexions que je voudrais vous faire partager à l'orée de ce nouvel An de Grâce 2014 et que j'ai commencé à rédiger en la Fête des Rois qui est celle, comme vous le savez déjà, des "AnthropoCosmologues" puisque les Roi-Mages étaient bel et bien des monarques astrologues, je voudrais vous offrir un florilège de pensées que j'ai notées au cours de mes lectures de 2013.
Elles vous permettront - du moins je l'espère - de mieux vous affermir contre la tyrannie libertaro-nihiliste qui étend inexorablement son filet sur nos esprits et nos consciences. Tyrannie progressivement mise en place grâce au noyautage progressif, depuis la fin des annèes 60, de nos institutions politiques, médiatiques, culturelles et éducatives par les agents actifs d'une idéologie qui a déclaré une guerre à mort à notre société et aux fondements civilisationnels, culturels, spirituels, sur lesquels elle s'est édifiée. Aboutissement d'un processus de sécularisation (ou laïcisation) totale de la vie sociale par lequel les racines mêmes d'une quelconque référence à toute forme de transcendance (et singulièrement chrétienne) seront extirpées en profondeur. Processus au cours duquel tant l'ordre des valeurs traditionnelles que l'ordre révolutionnaire lui-même, en ce qu'il comporte une dimension messianique, donc religieuse, seront effacés et détruits pour "se résoudre en un nihilisme absolu qui constitue le renversement de l'idée de révolution " (Roberto de Mattéi, dont j'aurai l'occasion de vous reparler dans l'article à paraître). D'où naîtra (si nous continuons à nous fermer les yeux et à attendre que "ça s'arrange") une société dans laquelle "non seulement le relativisme mais également le totalitarisme parviendront à leur forme la plus pure" (id). Totalitarisme absolu car le relativisme a comme "unique principe celui de la force, en tant qu'il détruit la barrière [je dirais même le rempart] qui s'oppose à toute volonté de domination : l'objectivité de la vérité".
S'il n'existe aucune vérité absolue, si les êtres et les choses sont entraînées dans un "devenir" permanent qui, en les modelant sans cesse, les prive d'un être véritable, d'un fondement objectif à connaître et à respecter, et si seul notre désir est fondé à imposer ce qu'est "la vérité", une "vérité" qui nous arrange; on aboutit alors à la mise en place d'un totalitarisme tel que l'humanité n'en aura jamais connu, le "relativisme" consistant justement à la priver des outils nécessaires à conceptualiser et à exprimer son opposition aux aberrations qu'on voudra lui imposer.
Phase ultime du processus "luciférien" qui a réussi à émerger au XVIIIème siècle et qui est en train de nous emporter vers le néant.
Passons maintenant à ces quelques pensées de santé morale et morale que je dédierai à certains dédicataires au fur et à mesure mais qui, en fait, s'adressent à tout notre monde politique, culturel, médiatique et universitaire.
A l'intention des instances internationales, des ONG, de leurs inspirateurs occultes et de tous ceux qui diffusent et imposent les principes de leur culture de mort à la surface de la Terre :
" Il a fallu vint siècles pour construire notre civilisation. Et voilà qu'une vingt ans, on voudrait la détruire ".
(Daniel-Ange, "Mai 13, Rébellion ! " Ed. du Jubilé, coll "Le Sarment")
Ne vous inquiétez pas, mon père, nous sommes un certain nombre qui n'avons pas oublié ce que nous devons à cette civilisation et qui ne la laisserons pas détruire sans réagir.
" Le totalitarisme, naît de la négation de la vérité dans le sens objectif du terme : s'il n'existe pas de vérité transcendante, dans laquelle, en lui obéissant, l'homme acquiert sa propre et pleine identité, dans ces conditions, il n'existe aucun principe sûr pour garantir les justes rapports entre les hommes. Leurs intérêts de classe, de groupe ou de nation les opposent inévitablement les uns aux autres"
(Jean-Paul II)
Autant dire que dans ces conditions l'action de ces instances internationales, toutes furieusement"relativistes", est vaine et qu'elles ne fait que multiplier et aggraver les drames géopolitiques qu'elles sont censées éviter. Comme le vieux professeur à la fin du "Bal des Vampires", elles répandent ce qu'elles affirmaient vouloir combattre. Mais veulent-elles vraiment le combattre ou plutôt l'instaurer ?
" L'absolutisation de ce qui n'est pas absolu mais relatif s'appelle le totalitarisme. Il ne libère pas l'homme, mais lui ôte sa liberté et le rend esclave"
(Benoît XVI)
Comme cela tombe bien ! C'est justement le projet que s'est fixé le "mondialisme" luciférien.
A l'attention des rationalistes, positivistes, scientistes, structuralistes, situationistes (j'en passe)...et des lecteurs de "Libé" ou de Charlie-Hebdo, bref, de tous les esprits forts.
« Chassez le surnaturel, il reste ce qui n’est pas naturel »,
(G.K. Chesterton)
Et encore plus souvent ce qui n'est pas ragoûtant
"Les rationalistes fuient le mystère pour se précipiter dans l'incohérence"
Bossuet.
"Une vie qui a un sens n'est finalement pas possible dans un monde qui n'en a pas"
(Huston Smith)
Pour tous ceux qui veulent effacer nos mémoires et fabriquer une "société nouvelle" et un "homme nouveau" à l'aune de leurs délires, dont M. Vincent Peillon, ses" Frères " et ses collègues du gouvernement
" La loi naturelle de l’humanité est que l’homme sur la terre est un débiteur insolvable. Un débiteur, parce que, si pauvre et si malheureux qu’il soit, il a immensément reçu. Un débiteur insolvable parce que si génial qu’il soit, il ne pourra jamais rendre à sa famille et à la société l’équivalent de ce qu’il en a gratuitement reçu ; tout homme a ainsi par nature une dette envers ses parents, sa famille, ses ancêtres et sa patrie, sans lesquels il ne serait rien… Cette dette, il ne peut s’en acquitter que faiblement. Il ne peut rendre autant comme le sens naturel de la justice le réclame."
(Jean Madiran)
"Les modèles du monde occidental, désormais affranchis du terreau chrétien, sont inspirés par une conception pratiquement athée de la vie... Cette pratique est marquée par la prétention dramatique de vouloir réaliser le bien de l’homme en se passant de Dieu, le Souverain Bien ; mais la créature sans son Créateur s’évanouit. Une culture qui refuse de se référer à Dieu perd son âme en même temps que son orientation."
(Jean-Paul II)
A notre gouvernement en général, à Mrs Hollande, Ayrault et Valls en particulier.
« Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics, quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer ».
(Bossuet)
Je ne sais si ces messieurs adressent des prières à Dieu - je pencherai plutôt du côté de Lucifer ou du Grand Architecte, ce qui est tout un - mais Celui-ci doit malgré tout bien rire quand il entend leurs discours, tant par le fond que par la forme. Sur le plan de l'"efficacité à détourner les malheurs publics" il y a déjà de quoi se rouler par terre, Mais, de plus, qui n'a pas entendu Mrs Hollande et Valls débiter leurs sophismes, ne connaît pas le sens du mot "anoner" et de l'expression "raser un auditoire".
A l'attention de Mme Nadaud-Bécasse(m) en particulier et de plusieurs de ses distingué(e)s collègues, qui ne ratent pas une occasion de nous faire pleurer d'un oeil par la bêtise de leurs propos, et de nous faire rire de l'autre par leur évident aveuglement sur leur médiocrité :
« Le Verbe s’est incarné pour la Rédemption du Péché. Faudra-t-il que le Saint-Esprit s’incarne pour la rédemption de la sottise ? »
(Léon Bloy)
A l'honorable Frère Vincent Peillon, le Grand Suborneur de l'Education dite Nationale
" Votre cours d'instruction civique est un modèle de bon sens et de loyauté d'esprit. Ce que vous appelez beaucoup trop modestement une ébauche de morale rationnelle est bien tout ce qu'on peut dire de mieux pour une cause perdue d'avance, car, si votre morale est raisonnable, l'homme ne l'est pas, la raison ne lui ayant jamais servi qu'à savoir ce qu'il doit faire pour le plaisir de faire ce qu'il ne doit pas. Nous appelons cette contradiction de l'homme, ou cette haine obscure de l'homme contre lui même, le péché originel. Mais le nom ne fait rien à la chose...."
( G. Bernanos)
Il est bien évident que, sans tenir compte de l'anachronisme, ce texte de Bernanos ne pourrait s'adresser à M. Peillon dont les écrits peuvent difficilement être qualifiés de "modèle de bon sens et de loyauté d'esprit" tant ils sont imprégnés de dogmatisme idéologique bien éloigné des valeurs que l'école républicaine du temps de Bernanos véhiculait encore. Sauf si on qualifie l'homosexualisme, la théorie du genre, la haine de l'identité et de l'histoire nationales de manifestations de "bon sens et de loyauté d'esprit".
A M. Hollande et Mme Taubira.
" Les lois injustes sont de deux sortes.
Il y a d'abord celles qui sont contraires au bien commun ; elles sont injustes
- soit en raison de leur fin, par exemple quand un chef impose à ses subordonnés des lois onéreuses qui profitent à sa cupidité ou à sa gloire plus qu'au bien commun;
- soit en raison de leur auteur, par exemple quand un homme promulgue une loi qui excède le pouvoir qu'il détient;
- soit encore en raison de leur forme, lorsque les charges destinées au bien commun sont inégalement réparties dans la communauté.
De pareilles lois sont des contraintes plus que des lois, car, selon le mot de Saint Augustin au livre I du Libre Arbitre, « on ne peut tenir pour loi, une loi qui n'est pas juste ». Par conséquent de telles lois n'obligent pas en conscience, sauf dans les cas où il importe d'éviter le scandale et le désordre ; il faut alors sacrifier même son droit [...].
Il y a ensuite les lois qui sont injustes parce que contraires au bien divin, comme les lois des tyrans qui imposent l'idolâtrie et d'autres actes contraires à la loi divine. Il ne faut en aucune manière observer de telles lois, c'est en ce sens qu'il est dit dans les Actes des Apôtres : « Il vaut mieux obéir à Dieu qu'aux hommes ».
SAINT-THOMAS d'AQUIN Somme théologique, I, II, q. 96, a. 4
On peut dire que notre gouvernement, soutenu par des Assemblées de godillots pour lesquels la bonne soupe passe avant la raison, la conscience et la décence, cumulent les raisons de déclarer injustes les lois qu'ils nous imposent. Tant du point de vue du Bien Commun - il n'y a qu'à observer la nombre de manifestations revendicatives qui couvrent nos rues et nos routes, pour constater que cette politique financière et fiscale atteint les sommets de l'arbitraire, surtout quand on sait quelles officines bénéficient des largesses gouvernementales puisées à même la poche des contribuables taillable et corvéables à merci. De même des lois comme "le pseudo-mariage pour tous" sont des lois qui "excèdent le pouvoir" de ceux qui le détiennent car "aucun droit commun ne peut être fondé en dehors d'une loi naturelle de l'homme, reconnue comme universelle et objective" (Roberto de Mattéi in La dictature du relativisme ). Quant au Droit divin, ce n'est rien de dire que nous sommes gouvernés par une équipe d'ennemis déclarés et actifs de notre religion historique qu'ils cherchent à effacer de notre mémoire.
Aux mêmes
"Une loi ne mérite obéissance qu'autant qu'elle est conforme à la droite raison et à la loi naturelle"
(Léon XIII)
"Une loi inique n'est pas une loi du tout. On ne saurait y obéir".
Assemblée des évêques américains.
« Le mariage est dans son principe et comme institution l'union d'un homme et d'une femme » et qu'un enfant « n'est pas un bien que peut se procurer un couple hétérosexuel ou homosexuel mais une personne née de l'union d'un homme et d'une femme ».
Lionel Jospin dans une déclaration de 2004
Rien à ajouter, sinon qu'il faut nous armer de courage pour désobéir à tout ce qui viole nos consciences, notre raison, notre dignité.
"Il y a deux choses qui peuvent unir les hommes : des idéaux communs et des crimes commis ensemble"
Adolf HITLER – discours à Munich du 1er août 1923.
Bravo mon cher Adolf. Notre époque, contrairement à la tienne peut-être, a inventé une classe politique qui unit les deux "choses".
" On ne peut penser qu’une société puisse combattre efficacement le crime quand elle le légalise elle-même dans le cadre de la vie naissante ".
Benoît XVI, 16 septembre 2006
Rassurez vous, Saint Père, on va faire mieux puisque désormais on va s'attaquer aux enfants déjà nés, aux malades dits incurables et aux vieillards ou prétendus tels pour le euthanasier proprement et efficacement pour le plus grand profit de la Sécu et de la finance internationale qui n'a que faire de personnes improductives et médiocres consommatrices.
Plus particulièrement à Vincent Peillon, pour qui la révolution n'a pas causé assez de dégâts.....
« Les lois sont sans vigueur, le gouvernement reconnaît son impuissance pour les faire exécuter; les crimes les plus infâmes se multiplient de toutes parts; le démon révolutionnaire relève fièrement la tête; la Constitution n'est qu'une toile d'araignée, et le pouvoir se permet d'horribles attentats. Le mariage n'est qu'une prostitution légale ; il n'y a plus d'autorité paternelle, plus d'effroi pour le crime, plus d'asile pour l'indigence. Le hideux suicide dénonce au gouvernement le désespoir des malheureux qui l'accusent. Le peuple se démoralise de la manière la plus effrayante; et l'abolition du culte, jointe à l'absence totale d'éducation publique, prépare à la France une génération dont l'idée seule fait frissonner. »
« Il y a dans la Révolution française un caractère satanique qui la distingue de tout ce qu'on a vu et peut-être de tout ce qu'on verra...il n'y a plus de prêtres, on les a chassés, égorgés, avilis; on les a dépouillés. Et ceux qui ont échappé à la guillotine, aux buchers, aux poignards, aux fusillades, aux noyades, à la déportation, reçoivent aujourd'hui l'aumône qu'ils donnaient jadis. Les autels sont renversés, on a promené dans les rues des animaux immondes sous des vêtements des pontifes. Les coupes sacrées ont servi à d'abominables orgies. Et sur ces autels que la foi antique environne de chérubins éblouis, on a fait monter des prostituées nues. »
La fin de la révolution « ne sera pas une révolution contraire, mais le contraire de la révolution »
Joseph de Maistre
Quel merveilleux chroniqueur Joseph de Maistre aurait été pour notre époque néronienne !
A tous les serviteurs du Grand Mensonnge pseudo-Démocratique
« Plus le mensonge est gros, plus il passe. Plus souvent il est répété, plus le peuple le croit »
Joseph Goebbels, au lendemain de l’incendie du Reichtag en 1933.
« Il a compris que le communisme ne reposait pas d'abord sur la police, sur l'armée, sur une bureaucratie privilégiée, sur une caste de profiteurs, ni même sur la terreur, mais sur une chose indéfinissable, sur une formation mentale bizarre, sur une maladie de la pensée, sur une perversion linguistique. Il l'a nommée de son nom officiel, idéologie, et de son nom métaphysique, mensonge. »
Alain Besançon, évoquant la pensée de Soljenitsyne
« Soljénitsyne critique en fait la modernité radicale, c'est-à-dire un “humanisme anthropocentrique” qui fait de la volonté humaine autonome le fondement même de la liberté. En même temps, la critique du rationalisme des Lumières par Soljénitsyne n'implique aucunement un refus du “monde moderne” tout court. Soljénitsyne ne rejette pas tant la modernité que son entêtement à assimiler le progrès moral au progrès technique. »
Daniel J. Mahoney, penseur américain.
Convient parfaitement à nos têtes d'oeufs qui croient donner un sens à la vie par la science et la technique alors qu'ils ne font que la déshumaniser.
A M. Hollande, à son gouvernement et à nos "représentants", tous partis confondus
« Rien ne réussit mieux que la médiocrité »
Tennessee Williams
C'est une idée qui avait déjà été développée par Pierre Gaxotte dans sa "Révolution Française" et il n'expliquait pas autre l'arrivée au pouvoir de Robespierre dont la médiocrité rassurait.
" L’inaptocratie : un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d’un nombre de producteurs en diminution continuelle."
Paul Flynn - homme politique anglais travailliste
Autant dire un orfèvre en la matière qui décrit ici parfaitement notre système politique actuel. Mais ne désespérons pas car :
“ Le socialisme ne dure que jusqu’à ce que se termine l’argent des autres ”
Margaret Thatcher
Terminons par un sourire
” Les socialistes, c’est comme Christophe Colomb, quand ils partent ils ne savent pas où ils vont et, quand ils arrivent, ils ne savent pas où ils sont.”
Winston Churchill
"A l’école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations : - L’addition des impôts - La soustraction des revenus - La multiplication des fonctionnaires et des immigrés - La division du travail.
Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba. Au moins vous serez sûrs de n’avoir que 40 voleurs."
Anonyme
A bientôt pour analyser cette année 2014 qui pourrait nous réserver des surprises
Vous citez Bossuet. Avez vous plus de précisions sur cette citation s'il vous plaît ?
(Œuvre, édition, page..)
Honnêtement, non. Il s'agit d'une de ces citations que je note au fil de mes lectures (car je lis toujours un crayon à la main...et je lis beaucoup) et dont je ne songe pas toujours à noter les références. Sauf lorsque je dois les utiliser pour étayer un article ou dans le cadre de mes cours; ce qui n'était pas le cas de cette petite recension de début d'année où je cherchais à partager plus qu'à démontrer.
Bien à vous
LSM
PS : Si d'aventure je pouvais en savoir plus, je ne manquerais pas de vous en informer.
Vous citez Bossuet. Avez vous plus de précisions sur cette citation s'il vous plaît ?
(Œuvre, édition, page..)
Cordialement
Honnêtement, non. Il s'agit d'une de ces citations que je note au fil de mes lectures (car je lis toujours un crayon à la main...et je lis beaucoup) et dont je ne songe pas toujours à noter les références. Sauf lorsque je dois les utiliser pour étayer un article ou dans le cadre de mes cours; ce qui n'était pas le cas de cette petite recension de début d'année où je cherchais à partager plus qu'à démontrer.
Bien à vous
LSM
PS : Si d'aventure je pouvais en savoir plus, je ne manquerais pas de vous en informer.