janvier 3, 2013

Adresse à nos chers Gouvernants en faveur d'une saine "Anormalité".....

shadokVoici, à l'intention des visiteurs et visiteuses "anormaux"  (comme moi) de ce site, un petit manifeste qui m'a été envoyé par une correspondante que je remercie vivement de son initiative.

Cet envoi me console de tant d'imbécilités agressives que j'ai pu recevoir suite à mes prises de position contre les aberrations morales, sociétales, anthropologiques, que veulent nous imposer Bêta Normal 1er et la clique d'olibrius et ministricules qui l'entourent à la tête de notre malheureux pays.

Voici ce texte :

"Bonne année Monsieur,

Je vous fait suivre les commentaires d'un de mes amis peintres. Il me semble que je suis aussi anormale que lui , et sans doute vous aussi. Mais rassurez vous, nous sommes nombreux. Bien amicalement.

J... A......

 

Si la « normalitude » est :

  • de condamner les adultes qui réprimandent par une gifle les gamins mal élevés et irrespectueux

  • de marier entre eux officiellement les pédérastes

  • de faire voter les étrangers qui refusent d’être Français

  • de tuer la poule aux œufs d’or en la traitant de minable parce qu’elle ne veut pas se faire plumer encore plus

  • d’imposer à la majorité les mœurs et exigences d’une minorité

  • de légaliser la fumette de « joints »

  • de parler de « fellation » en classe de CM 1 où est ma petite nièce

  • de distribuer préservatifs et pilules dans les écoles

  • de mentir activement ou par omission

  • de dépenser l’argent que l’on n’a pas

Alors je revendique haut et fort d’être « ANORMAL »

 

Et je vous souhaite, au seuil de ces 12 mois 2013, bien du plaisir …

CE PEINTRE S'APPELLE R...... G....... (réalité , trompe l'oeil)

 

Inutile de préciser combien je me sens "anormal" en prenant connaissance de l'ensemble de ces définitions......

LSM

  1. Monsieur
    En prenant connaissance du texte que vous avez eu la gentillesse de faire suivre, une faute d’orthographe a suivi également. J’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur, comme mon collègue je suis plus à l’aise avec un pinceau, qu’avec une machine à écrire. Bien amicalement J.A
    /Users/jocelyne/Desktop/Voeux.jpg

    1. J'ai bien relu votre texte et je n'y ai pas découvert la faute d'orthographe dont vous vous accusez. Sauf, bien sûr, le substantif de "normalitude" que je considère comme un néologisme plein d'humour et non comme une faute.
      Bien à vous

      LSM

  2. Je suis favorable au fait que deux personnes qui s'aiment puissent signer devant le Maire un contrat leur donnant tous les droits et devoirs qui existent dans le contrat de mariage actuel.

    Par contre, je pense que le mot "mariage" doit être réservé à l'union d'un homme et d'une femme qui peuvent procréer. C'est également le terme utilisé dans toute la chrétienté depuis plus de deux millénaires.

    C'est pourquoi je propose que deux personnes du même sexe qui veulent s'unir soient en "Contrat d'Union Libre", autrement dit "en CUL" (acronyme).

    Et comme on parle de mariés ou de pacsés on parlera d'enculés. Et au lieu de dire ils se sont mariés, on dira désormais ils se sont enculés !

    1. Je trouve votre proposition pleine de bon sens sur le fond, à défaut d'un raffinement sur la forme du langage....C'est le moins qu'on puisse dire.
      Mais, si on considère le côté concret véritable de ces revendications et qu'on oublie un peu la dialectique dont elles s'ennuagent pour mieux nous étourdir, vous tapez en plein dans le mille.
      Bien à vous

      LSM

  3. Lamentable..qu'est ce que vous avez contre ceux que vous appelez avec autant de mépris les "pédérastes"? mais pour qui vous vous prenez? vous croyez que vous êtes mieux, vous??

    Oui, la loi bientôt va changer, ils pourront ENFIN se marier et protéger leur couple et leurs acquis!

    Et rien que d'imaginer votre visage déconfit je me réjouis d'avance..

    Je ne vous salue pas, ni monsieur sT Martin aussi homophobe que vous!

    1. Q : Lamentable..qu'est ce que vous avez contre ceux que vous appelez avec autant de mépris les "pédérastes"?

      R : Vous ne trouverez jamais ce terme sous ma plume car, étymologiquement, il ne désigne que les homosexuel(le)s qui s'intéressent aux enfants. Ce qui - j'espère - n'est pas le cas de la majorité d'entre eux/elles. Aussi votre indignation s'adresse-t-elle à un "commentateur" comme vous. C'est un terme effectivement peu élégant, mais quand on a assisté à un défilé de la gay pride ou quand on regarde la photo qui illustre un autre de mes articles, celui du 28 décembre où l'on voit un gamin d'une dizaine d'années, photographié lors de la manifestation en faveur du "mariage pour tous", brandir un panneau sur lequel est écrit : "Bite au cul ou pas, on veut l'égalité des droits" il ne faut pas s'étonner que certains comportements puissent inspirer des qualificatifs méprisants. Qui sème le vent.....

      Q : mais pour qui vous vous prenez? vous croyez que vous êtes mieux, vous??

      R : Je ne me prends pour rien. Je connais parfaitement mes limites et mes défauts mais la différence c'est que je sais que j'en suis le seul responsable, que je ne cherche pas à les faire passer pour des qualités ou des comportements souhaitables; que je ne me livre à aucun prosélytisme pour essayer d'entraîner les autres sur le chemin de mes erreurs et que je cherche donc pas à les faire inscrire dans le marbre de la loi de telle sorte que mes "turpitudes" deviennent des normes.
      Cela vous suffit-il comme réponse ?

      Q : "Oui, la loi bientôt va changer, ils pourront ENFIN se marier et protéger leur couple et leurs acquis!"

      R : Trois absurdités en une toute petite phrase. Cela fait beaucoup.
      1/ Vous pourrez vous contorsionner dans tous les sens, ergoter et polémiquer tant que vous voudrez, deux hommes ou deux femmes ne seront jamais "mariés" même si une classe politique plus habile à corrompre les lois et les esprits et à détricoter notre civilisation qu'à résoudre les difficultés qui se posent réellement à notre malheureux pays, arrive à faire passer cette loi qui vous réjouit tant. La loi ne peut changer la réalité, elle reviendra en pleine face à nos gouvernants un jour ou l'autre. La loi peut décréter que deux atomes d'oxygène produisent de l'eau ou que deux spermatozoïdes ou deux ovules produiront un embryon. Il n'en reste pas moins que nous n'aurons ni eau ni embryon si nous nous refusons à "marier" l'oxygène à l'hydrogène et le spermatozoïde à l'ovule. Les pitreries en mairie n'y feront rien et vos vitupérations non plus.
      2/ Vous me faite doucement rigoler avec votre notion de "couple" que vous confondez avec une "paire" ou un "duo", le couple, comme le mariage, exigeant la différence de genre inscrite dans la nature biologique de l'être humain, et non la simple conformité dans la désorientation sexuelle avec fermeture à la différence justement.
      De plus, il faut disposer d'une sacrée dose d'optimisme ou d'ignorance pour prôner la vie de "couple" pour des homosexuels (hommes surtout) car les éléments secondaires de l'homosexualité impliquent le plus souvent : instabilité affective, promiscuité, narcissisme et besoins de séduction provoquant multiplication des rencontres et des aventures, bref un ensemble de compulsions fort préjudiciable à la durée de la relation. L'un ou l'autre des deux partenaires , voire les deux, étant incapable d'assumer cette fidélité qui est au fondement du "couple" et se libérant plus ou moins rapidement d'un lien qui lui pèse lorsque l'attirance sexuelle, toujours erratique chez eux, commence à baisser. Vous allez me répondre que vous connaissez un couple ou des duos qui sont ensemble depuis x années. Nous avons tous l'exemple "qui prouve que..." mais un exemple ne forme jamais une règle et la règle fondamentale des couples homos, c'est l'infidélité et l'instabilité. Ils n'y peuvent rien c'est la conséquence de cette désorientation de départ. Alors "protéger leur couple" me paraît une pieuse intention mais totalement déconnectée du réel.
      D'autre part, Je vous ferai remarquer que a) le simulacre de "pseudo-mariage" ne protégera rien du tout et certainement pas les homosexuels de leur propre instabilité. Et, quand ils se sépareront, les dispositions sociales, fiscales ou patrimoniales éventuelles qu'ils avaient souscrites l'un envers l'autre, se dissoudront (souvent avec conflit à la clé) avec le pseudo-mariage lui même. Retour à la case départ. b) Il est pour le moins contradictoire que celui qui a inscrit le pseudo-mariage homo dans son programme politique, n'ait jamais été foutu de se marier lui-même et qu'il nous inflige une concubine comme - paraît-il - "première dame de France". Mais, au point de décadence où nous en sommes arrivés, votre chère loi passant et M. Delanoë ou M. Frédéric Mitterrand étant élus président, imaginez à quoi nous aurions droit comme "première dame de France". J'espère quil vous reste encore assez de bon sens et de sens des réalités pour apprécier l'absurde et l'odieux de telles situations possibles.
      3/ Les "acquits" dites-vous ? Quels acquits ? Un acquit en matière sociale et politique est toujours la contrepartie d'un service ou d'une contribution au Bien commun. Il faut avoir travaillé pendant x années pour avoir droit à une retraite : c'est un acquit. Avoir des enfants pour toucher des allocations familiales. Avoir travaillé et côtisé pour percevoir des Assedic, etc.... Et même lorsque l'acquit consiste en un encadrement ou à un allègement de cette contrepartie ou de ce ce service - comme la diminution de la semaine de travail ou la longueur des congés payés - la contrepartie ou le service existent toujours bel et bien qui contribuent à la bonne marche de la société. Je me demande bien quelle contribution, quels services, quels mérites nous pourrions mettre au crédit de personnes qui vivent sur elles mêmes et pour elles mêmes et n'apportent strictement rien à la société sous le rapport de leur homosexualité.... Dans la foulée de la loi, si tant est qu'elle soit votée, il vous faudra songer à créer le "Syndicat de la Déviance" qui pourrait obtenir toutes sortes de dispositions des pouvoirs publics pour récompenser les signalés services auxquels se consacrent vos protégé(e)s avec tant d'admirable abnégation.

      Q : Et rien que d'imaginer votre visage déconfit je me réjouis d'avance..


      R : Laissez nous imaginer la vôtre si, le bons sens, la pudeur, le sens de la dignité l'emportant, cette loi n'était pas votée.....
      Mais je veux bien me placer dans le cas qui vous fait frétiller de joie : la loi passe parce que votée par un parlement-croupion, terrorisé par les foudres du politiquement correct et, de toute façon, paralysé par le gouvernement qui demandera un "vote bloqué" à ses godillots, c'est à dire en empêchant les députés de voter librement suivant leur conscience (on aurait des surprises) et non selon les consignes impératives de leur parti.
      Ce qui compte, cher Monsieur, ce n'est pas la tête que je ferai ou ne ferai pas (j'en ai vu d'autres en matière d'aberration, de trahison, de reniement et de forfaiture de la part de nos gouvernements successifs au cours de mon existence). Ce qui compte c'est l'impact que cette loi aura sur l'édifice de notre civilisation et que vous n'êtes visiblement pas en mesure de mesurer, tout obnubilé que vous êtes par vos revendications nombriliques (quoique ce ne soit pas le nombril qui joue le plus grand rôle en la matière). Cette loi, si elle passe, risque de fonctionner comme le coup d'envoi d'un "effet domino" qui, de proche en proche, atteindra tous les aspects de notre vie familiale, morale, sociale, culturelle. Si on juge légitime de "marier" deux hommes entre eux ou deux femmes entre elles, d'imposer ensuite à des enfants une parenté constituée de "deux mamans" ou de "deux papas" (l'un des deux changeant d'ailleurs souvent comme il faut s'y attendre) de les priver de tout repère sain en les faisant vivre dans la transgression et la déviance, de les amputer de leur filiation authentique (notamment dans le cas de la PMA ou, pire, de la GMA) alors c'en sera fini de la civilisation et la porte sera ouverte à toutes les barbaries, pourvue qu'elles satisfassent les délires hédonistes, narcissiques d'une société qui aura perdu jusqu'à la notion de dignité humaine.

      Q : Je ne vous salue pas, ni monsieur sT Martin aussi homophobe que vous!

      R : Le "commentateur" auquel, en fait, s'adresse votre philippique, et moi-même, nous passerons aisément de votre salut en regrettant simplement votre aveuglement.
      Homophobe ! Je ne sais pas ce que cela veut dire sinon que c'est un "mot-virus" destiné à terroriser le gogo qui n'avale pas béatement le brouet nauséabond qui leur est servi par les groupes de pression sodomites qui sévissent, comme phoques en mer arctique, dans les milieux politiques et médiatiques de notre pays.
      De plus c'est un mot stupide. "Phobos" en grec désigne la peur, la crainte, l'effroi et, corrélativement, la détestation. Je n'ai pas peur des homosexuel(le)s, pas même de l'homosexualité (j'y reviendrai).
      Donc si vous entendez par "homophobie", une quelconque hostilité contre les homosexuels en tant que tels, vous vous trompez lourdement. J'en ai connu(e)s, écouté(e)s, conseillé(e)s, apprécié(e)s, aidé(e)s, aimé(e)s de très nombreux(ses) au cours de mon existence et de ma carrière. Aucun(e) ne m'a jamais causé de peur ou d'effroi.
      Pour autant, eux(elles) et moi savions bien et acceptions l'idée que l'homosexualité constituait plus une épreuve qu'un bienfait et qu'elle entraînait des conséquences - sur le plan individuel d'abord, familial, social, moral ensuite - qui l'apparentaient à un handicap en ces domaines spécifiques. Comme la myopie ou la surdité sur le plan physique; des déficiences (génétiques ou acquises) quelconques sur le plan physiologiques; des inadaptations sur le plan psychique. Avec lesquelles il faut vivre du mieux possible.
      IL n'était pas question de considérer l'homosexualité, pour eux, elles et pour moi, comme un "choix d'orientation sexuelle" libre et souhaitable, mais bien comme une impossibilité d'assumer la vie affective et sexuelle qui accompagne la constitution aboutie et épanouie de la personnalité en toutes ses dimensions. Et encore moins d'en faire la source d'un "droit" quelconque - sinon celui d'être respecté comme toute personne humaine - ou le fondement d'un "mariage" de parodie, ou d'une "famille" de bric et de broc.
      Ne restait à ces personnes que deux choix réels et possibles :
      - s'assumer pleinement comme homosexuel(le)s et renoncer à fonder une famille : Proust, Cocteau, Lyautey, Rimbaud, le colonel Lawrence et bien d'autres encore l'ont fait et le font sous nos yeux (sauf quand les espérances ministérielles les obligent à convoler rapidement jus te pour "faire semblant")
      - fonder une vraie famille et renoncer à vivre leur homosexualité.....avec quelques petite entorses par ci par là. C'est de plus en plus courant.
      Mais aucun(e) de ceux et celles que j'ai côtoyés n'a jamais émis l'idée d'un "mariage" avec leur(s) partenaires, généralement multiples et varié(e)s. Au contraire, ils(elles) auraient été mortifiées qu'on puisse les soupçonner de vouloir entraîner des enfants dans une existence qui n'était pas du tout adaptée à ce qu'on peut souhaiter dans la construction morale, psychologique, spirituelle d'un enfant quand on a un peu de pudeur et de bon sens, quand on n'a pas mis un anus à la place de la cervelle.
      Comment on en est arrivé aux aberrations actuelles qui justifient un commentaire tel que le vôtre est une longue histoire que je ne retracerai pas ici.
      Mais ce sur quoi je voudrais terminer c'est qu'au lieu de nous laisser impressionner par les épouvantails à moineaux qui servent à nous enfumer : "tolérance" "égalité pour tous" "homophobie" etc....il conviendrait que les gens de bon sens, soucieux de préserver ce qu'il reste encore à préserver dans notre culture actuelle, prennent conscience qu'ils se font admonester et insulter par d'authentiques "hétérophobes" : ceux qui craignent tellement l'Autre, le vrai Autre (le Genre complémentaire), le rejettent et le méprisent tellement, qu'ils préfèrent non seulement le nier en le remplaçant par le Même (le partenaire du même sexe), mais encore le dépouiller des attributions régaliennes que Dieu ou la Nature (au choix) lui ont données :
      - instituer un "époux" pour un homme, une "épouse" pour une femme
      - attribuer un équivalent de "maternité" à un homme, un équivalent de "paternité" à une femme,
      - une quelconque "parentalité" à deux êtres qui refusent justement de vivre ce qui pourrait les constituer comme parents,

      Voilà un ensemble d'attitudes et d'actions directement liées au besoin d'exclure, de nier l'Autre dans sa nature et sa différence, de le mépriser comme indigne d'amour, de désir et d'engagement avec lui.
      Bref, c'est se comporter très exactement comme les militants homosexuels accusent les "homophobes" de se comporter avec eux.

      "Il est souvent tragique" nous dit C.G Jung " de voir la façon éhontée dont un homme gâche sa vie et celle des autres, sans pour autant se douter un seul instant que toute la tragédie vient de lui, qu'il ne cesse de l'alimenter et de l'entretenir "

      Meilleures salutations

      LSM

    1. C'est pourtant simple. Les "fous de Sodome" comme il y a des "fous de Dieu" [car je ne saurais mettre tous les homosexuel(le)s dans le même sac] se prétendent persécutés par la société.
      Ils ont même inventé le mot "homophobie" (qui ne veut strictement rien dire, mais ce n'est pas ce qu'on lui demande) pour culpabiliser les bonnes gens, les faire taire, voire les traîner devant les tribunaux de notre république si bienveillante à tout ce qui corrompt nos moeurs, affaiblit notre identité, détruit notre culture millénaire.
      Bref. On comprend bien qu'il s'agit d'une technique de propagande, très inspirée des méthodes trotskystes en situation d'infériorité numérique, et qui substitue la "victimisation" à l'affrontement direct. Il s'agit d'amener l'adversaire, plus puissant, à douter de la légitimité de sa propre cause et le tour est joué.
      Mais si la "victimisation" est une méthode très efficace pour certains qui tirent les ficelles, d'autres s'y laissent prendre et finissent par croire qu'ils sont malheureux ou mal dans leur peau à cause de la société parce qu'on ne les aime pas, qu'on leur en veut.
      Dans les années 70/90 tous les verrous que la dite société avait opposée à la pratique de l'homosexualité ont sauté grâce à cette technique de "victimisation" et de "normalisation". Parfait. Les homosexuels avaient demandé le "droit à l'indifférence" ils l'ont obtenu. Lorsque j'étais cadre en entreprise, j'ai travaillé avec des homosexuels, j'en ai eus comme collègues, collaborateurs, amis ou relations et ils ne se sentaient pas plus persécutés ou victimes de qui que ce soit que le premier quidam venu, car leur orientation sexuelle n'entraient en rien dans nos considérations. Et lorsqu'ils avaient un "ami" ou qu'elles avaient une "amie" il ou elle était reçu(e) à la maison avec autant de plaisir et de courtoisie qu'il est possible. Et devenait très souvent "ami" ou "amie" aussi.
      Les choses ont changé quand, du droit à l'indifférence on en est venu (je ne vous ferai pas l'historique) à la constitution du monde homosexuel, jusque là composé d'individualités, en une "communauté" politisée avec clubs et associations (grassement subventionnées par l'argent des contribuables "hétéros"). "Communauté" et associations instrumentalisées par la courant libertaro-libertaire issu de mai 68, nouvelle arme secrète pour détruire la "société bourgeoise" en la pourrissant de l'intérieur. Ce fut la naissance de groupes de pression peu étoffés, mais aguerris dans la tactique de lobbying et de harcèlement politique. De plus en plus virulents dans les médias, dans le monde de la culture (où ils sont fort bien implantés) dans celui de l'Education dite Nationale, puis dans le monde politique. Le but : défaire la société en revendiquant des "droits" spécifiques qui la ramènerait au règne de ce que quelqu'un à nommé "la tyrannie du plaisir". Le moyen : créer une sorte d'alternative artificielle sur le plan politique, social et sociétal, en inventant un monde "hétérosexuel" opposé à un monde "homosexuel" et équivalent en droit ! Je ferai remarquer que le concept d'"hétérosexualité" n'a émergé et n'a été invoqué à tout bout de champ que pour compléter et créer une fausse équivalence à celui d'"homosexualité". On ne parlait jamais d'"hétérosexualité" auparavant, ou très rarement, car il avait toujours été évident que la société n'a jamais été composée d'hétéros et d'homos, mais d'hommes et de femmes, de femmes et d'hommes, quelle que fût l'orientation ou la désorientation et les turpitudes sexuelles des un(e)s et des autres.

      Forcément cette dérive inspirant des revendications de plus en plus insensées (reprises par ceux qui ont tout intérêt à satisfaire une clientèle généralement aisée et qui vote à gauche - suivez mon regard -) n'a pas manqué de susciter une réaction contraire. Qui n'a d'ailleurs rien à voir avec conservatisme contre gauchisme, comme certains de mes contradicteurs feignent de le croire, mais avec bon sens et santé morale et mentale réagissant contre la légalisation de l'intolérable et son imposition à toute la société. C'est pourquoi les tensions actuelles sur le sujet, débordent très largement le clivage droite/gauche traditionnel.

      Ce qui fait que ceux là mêmes qui vivaient en parfaite intelligence avec leurs concitoyens en se moquant qu'ils fussent homos ou non, se sont trouvés d'abord agacés, puis réellement indignés par les revendications outrancières auxquelles la part militante, que j'appellerai "enragée" de la "communauté" a entraîne les autres. Cette indignation affectant aussi bien personnes de gauche que de droite, homos (sains d'esprit) qu'hétéros.

      Cette guerre artificielle ayant été déclarée à la société par les lobbies évoqués plus haut, encouragée cyniquement par ceux qui avaient intérêt à le faire pour toutes les raisons que j'ai déjà signalées et quelques autres encore, il est probable que quelques manifestations de mauvaise humeur et des noms d'oiseaux ont commencé à refleurir...très soigneusement montés en épingle bien sûr. Mais quand on fait la balance entre ce que les hétéros (surtout s'ils sont chrétiens) doivent entendre ou lire dans les défilés du pandémonium sodomite, et ce que les homos peuvent lire sur les banderoles et entendre dans les cortèges favorables à la santé mentale, morale et sociale, en retour, il n'y a pas photo. Les agressés ne sont pas ceux que l'on croit. Il n'est qu'à lire la façon dont on s'adresse à moi, les "arguments" qu'on m'oppose, et la façon dont je réponds à mes insulteurs pour être fixé.

      Mais, en matière de guerre psychologique, ce n'est pas la réalité qui compte, c'est le bruit qu'on est capable de faire.
      Pour ceux qui tirent les ficelles, toute réaction hostile à la cause homo est utilisée pour renforcer le pôle "victimisation" de la grande manoeuvre de subversion morale et sociétale. C'est du pain béni, si je puis dire.
      Mais, pour ceux qui parmi la pseudo-communauté, souffrent de ces tensions (l'immense majorité) sans avoir le courage de se désolidariser des excités qui les mènent, la phrase de Jung s'impose d'évidence et peut les éclairer.
      Les homosexuels qui voudraient vivre en paix avec leurs concitoyens et qui se plaignent des tensions actuelles, doivent absolument prendre conscience de "la façon éhontée dont [les agités qui disent les représenter] gâchent leur vie et celle des autres, sans pour autant se douter un seul instant que toute la tragédie vient de leurs revendications insanes, qu’ils ne cessent de l’alimenter et de l’entretenir".

      Cette offensive législative contre les fondements de notre société va peut-être aboutir. La loi sera peut-être votée. On fabriquera peut être des enfants à la commande pour des inverti(e)s égocentriques..
      Mais il faut bien voir que la guerre, elle, sera perdue pour tout le monde - et pas seulement pour ceux qui pensent comme moi et pour qui je m'efforce de parler ici quelque désagrément que cela m'inflige - car le monde que cette loi va instaurer n'aura plus rien d'humain. Si tant est qu'il soit viable.

  4. D'une façon assez lâche, sachant ce qui a précédé et surtout suivi la perte de toute valeur sociale dans l'empire romain, au fait du résultats de certaines expériences psychologiques peu diffusées ou tordues par des comptes rendus fallacieux, je crains de vivre trop longtemps, ou pas assez!

      1. Entièrement d'accord : les consciences sont remuées par le déballage de la face cachée de notre nature humaine animale qui "libérée" en raison des "pétages de digues morales" , remonte à la surface .
        Ceci est une grande révolte face au "produire, vendre, consommer " ; tellement prévisible ,l'être humain ne pouvant pas se suffire de cette trilogie absurde pour le courant de son existence.
        Ceci va constituer une remise à plat et une réflexion sur l'utilité de nous incarner ici bas .
        Mais quelle pesanteur à vivre !

        1. "Pesanteur" est un mot bien faible quand on est affronté au flot d'imbécilités proférées et imposées par nos responsables pour chevaucher la vague de vomissures qui les a portés et les maintient au pouvoir.
          Il n'y a qu'à espérer que le peuple français, celui qui est resté sain en profondeur et attaché à sa civilisation, se réveillera un jour et, calmement mais inexorablement, conduira ces pitres dangereux à la sortie.
          Bien à vous

          LSM

          1. Je ne sais si une autre équipe ferait mieux ....? Ce qui me console c'est que le français est parlé de façon moins vulgaire et dans une meilleure syntaxe; au quotidien, au détour d'une émission de T.V. , ça repose .....Fasse le ciel que nous ne récupérions pas ,un jour, ce pauvre hongrois égaré qui sévit encore ce me semble !!!! ...
            Je viens de retrouver un article sur le projet de retrait de Benoît XVI daté du 5 Octobre 2012(?)
            ( Aujourd'hui Magazine ). Pourquoi ,alors , ce coup de tonnerre actuel ???

          2. Je suis parfaitement d'accord avec vous. Quelle que soit l'équipe au pouvoir - la "droite" honteuse d'elle-même ou la "gauche" acharnée à détruire notre culture - les résultats seront aussi désastreux. Car ce sont les principes et les pratiques - idéologiques, politiques et électoraux - sur lesquels la démocratie actuelle est fondée et qui consistent à permettre à une minorité agissante et cynique de capter tous les pouvoirs, principes profondément viciés et nocifs, qu'il faut abandonner.
            Il nous faut donc revenir à une véritable redécouverte de ce que sont le Bien Commun et la Loi Naturelle que nous devons respecter pour en inspirer nos lois. Et cela ne passera que par un bouleversement dont nous n'avons pas la moindre idée.

            Je n'ai pas compris à qui vous faisiez allusion en évoquant "ce pauvre Hongrois égaré"???? Pourriez-vous être plus claire ???
            Concernant la "surprise" de la démission, il est vrai que Benoît XVI avait répondu à une personne qui lui en posait la question je crois, que dans certaines conditions le pape avait "le droit et quelquefois le devoir" de quitter cette charge écrasante.
            Mais du principe à la réalisation......C'est comme lorsque nous accompagnons quelqu'un que nous aimons, malade depuis très longtemps. Nous avons beau savoir comment cela se terminera, nous sommes toujours saisis et désemparés par la survenue de la mort, alors même que nous pensions nous y être préparés. J'ai vécu cela à plusieurs reprises dans mon existence et je dois dire que j'ai toujours éprouvé autant de surprise et de désarroi devant la survenue de l'inévitable.
            Bien à vous

            LSM

  5. Même elliptiquement parlant c.a.d.:dans un style graphique qui rejette les détails , je pensais que notre précédent et inénarrable Président de la République pouvait être reconnaissable .
    Si j' ai l'occasion un jour d'encore évoquer ce grand homme orchestre , je serais plus précise.En vous priant de m'excuser .
    Concernant le reste ,évidemment d'accord avec vous sur tout .
    Bien à vous.

    1. Excusez mon étourderie incompréhensible ! Comment n'ai-je pas fait le lien entre le "Hongrois égaré" et notre cher ex (et peut-être futur) président ? N'oubliez quand même pas la branche maternelle : la famille Mallah issue de la communauté juive de Salonique. Famille dans laquelle notre cher Nicolas fut élevé après l'abandon du père lorsqu'il avait quatre ans....Si bien que nous avons été gouvernés pendant 5 ans par un Hongro/Grec ou un Helléno/Magyar si vous préférez. A noter cependant que sa grand-père maternelle - Adéle Bouvier - qui épousa son grand-père Bénédict Mallah pendant la grande guerre (il était médecin, elle était infirmière catholique) vient encore élargir le mélange. Nous avons donc affaire à un Hlléno/franco/judéo/catholico/magyar
      C'est sans doute cette riche complexité qui explique les dons de Frégoli du petit Nicolas.....et qui m'a empêché de saisir votre allusion comme je l'aurais dû. Ou peut-être est-ce la fatigue.....
      Bien cordialement à vous

      LSM

  6. Oui , le résultat de cette recette a semblé a beaucoup , bien indigeste !
    Sans vouloir injurier un seul des protagonistes-ingrédients ayant participé au mélange ,le plat aurait-il mal cuit ou tourné ?
    J'ai cru lire, au fil d' une de vos études , que vous nous laissiez espérer ,dans quatre ans, une nouvelle dégustation de ce met ? Mamma mia ! fasse le ciel que pour cette fois vos dons d'astrologue soient vraiment contredits .
    Bonne journée et bien à vous .

    1. Maurras, dont l'oeuvre ne serait pas sans intérêt pour notre époque qui l'a en horreur pour des prétextes parfaitement imbéciles, pensait qu'on ne devrait pas accorder la nationalité française avant trois générations de présence effective sur le sol français et de services rendus à la patrie.
      Il semble qu'il n'ait pas eu tout à fait tort si j'en juge par les épreuves que nous infligent certains de ces "Français" de papier qu'on retrouve en Afghanistan, en Iran ou en Lybie avant de les retrouver dans nos prisons....dans le meilleur des cas.

      Quant au personnage que vous évoquez, il est assez pertinent de penser pour moi, au vu des mouvements que je décèle dans son thème en 2017, que s'il est affronté aux trois nullités qu'on peut actuellement soupçonner de vouloir se présenter - Hollande, Fillon et/ou Copé - il pourrait l'emporter haut la main, "le peuple français ayant la mémoire courte" comme le disait un certain maréchal il y a près de soixante dix ans.
      Vous comprenez bien qu'en la matière on ne peut réfléchir que par comparaison et non dans l'absolu. Peut-être une personnalité se détachera-t-elle du lot dotée un thème natal qui m'amènera à réviser ma prévision. Qui sait.
      Encore que je ne vois comment une personnalité véritable irait barboter dans le marigot qu'est devenue notre "ripouxblique" où les "responsables" sont d'autant plus encensés qu'ils sont nuisibles à l'identité et aux intérêts véritables de la France. Que je n'identifie n'est ni à la république ni à la démocratie.
      Nous verrons bien.
      Meilleures pensées à vous

      LSM

  7. Tout ceci est dans quatre ans ; reposons-nous donc et profitons de l'arrivée de ce nouveau pape et préoccupons-nous de l'accueillir.
    A mon avis les débuts sont excellents : le discours, les mots prononcés ,l'empathie, la vraie simplicité ..... Fasse le ciel qu'avec lui, un certain recentrage des valeurs s'accomplisse .
    Bien à vous .

    1. Oui vous avez raison "laissons le temps au temps" comme aimait à le répéter un autre "François" de nocive mémoire.
      Quant au "François" actuel - je ne parle évidemment pas du comique qui habite l'Elysée - j'espère qu'il s'efforcera de suivre l'exemple de son prédécesseur et de "restaurer" la Vérité partout où elle a été bafouée. Sacré travail ....!
      Bien à vous

      LSM

  8. J'apprends à la radio le nouveau statut dont s'est enrichi notre ex-Président de la République .
    Il est à penser que vous n'aurez pas à vous pencher , dans quatre ans , sur son re-futur présidentiel ....Mais, connaissant la politique du "clou chassant l'autre" vous pourrez quand même développer votre art pour un autre !
    Bien à vous.

    1. Ma chère Jeanne d'Arc, je crois que vos voix ignorent les moeurs de notre monde politique et se révèlent bien naïves en ce domaine.
      Je leur rappelle donc que le colonel De Gaulle (général à tire temporaire....mais il l'est toujours resté !) a été condamné par contumace en 1940...et qu'il était chef du gouvernement provisoire en 1944.
      Je leur rappelle aussi (car elles ignorent peut-être ce fait de haute politique) le cas Mitterrand en leur offrant l'extrait ci-dessous :

      " Dans la nuit du 15 au 16 octobre 1959, après avoir dîné à la brasserie Lipp avec Georges Dayan, François Mitterrand, ancien ministre de la IVe République, sénateur de la Nièvre, décide de rentrer chez lui, rue Guynemer, vers minuit trente. François Mitterrand, selon sa version, suspecte une autre voiture de le suivre, modifie son parcours, arrête sa 403 au niveau de l'avenue de l'Observatoire, enjambe une haie du jardin de l'Observatoire et se réfugie derrière un buisson. Sa voiture est alors criblée de 7 balles. Le lendemain de l'affaire, les journaux relatent l'histoire en faisant l'éloge de Mitterrand, qui n'aurait dû son salut qu'à sa rapidité de réaction. Il redevient le leader de la lutte contre l’extrême droite.
      La Ve République a quelques mois et la guerre d'Algérie est à son comble. On pense trouver les coupables parmi les partisans de l'Algérie française. La police enquête, sur la base de la plainte et du témoignage de François Mitterrand. Une semaine plus tard, le 21 octobre, le journal Rivarol publie un témoignage de Robert Pesquet, ancien résistant, ancien député gaulliste, proche de l'extrême droite, qui déclare qu'il est l'auteur de ce qui serait un faux attentat, et qui aurait été commandité par François Mitterrand en personne, dans le but de regagner les faveurs de l'opinion publique au détriment de Mendès France et de provoquer des perquisitions dans les milieux d'extrême droite.
      La justice inculpe Robert Pesquet et deux comparses (le tireur Abel Dahuron et André Pequignot qui a fourni la mitraillette) pour détention d'armes, François Mitterrand (après la levée de son immunité parlementaire le 25 novembre 1959, car il est sénateur) pour « outrage à magistrat », pour avoir caché à la justice ses rencontres avec Robert Pesquet et suite à la nouvelle version qu'il donne au juge d’instruction Braunschweig : Pesquet, devant participer directement à l'attentat, lui aurait suggéré un attentat manqué.
      Sept ans plus tard, la loi d'amnistie initiée par le gouvernement de Georges Pompidou en 1966 permet de clore les poursuites. La justice conclut également la plainte initiale de François Mitterrand par un non-lieu. Après avoir perdu en appel, il se pourvoit en cassation, puis se désiste, la Justice le condamnant simplement aux frais et aux dépens"
      .(fin de citation).

      Voilà mon Mitterrand discrédité, pleurant d'humiliation, obligé (pour un temps) d'abandonner la politique et de reprendre sa robe d'avocat.....

      Et pourtant qui se présenta en opposant principal de "gauche" à De Gaulle en 1965, à Giscard en 1974 et en 1981 ? Et qui fut élu à deux reprises à la tête de notre Ripouxblique, les scandales fleurissant autour de lui, comme les mouches s'agglutinent sur le miel (pour rester polit) ? Pensez à l'affaire Vibrachoc et à la mort étrange de Patrice Pellat son grand ami, à celle de la société Triangle, à celle des actions de la Société générale, à celle des finances du parti socialiste, à celle de ses biens immobiliers qui sont sans commune mesure avec ce que peut rapporter le salaire d'un ministre, d'un sénateur, voire d'un président, ni même les honoraires d'un avocat qui ne fit jamais grande carrière; pensez aussi au cynisme d'un homme qui fit entretenir sur un grand pied dans nos palais nationaux, une famille illégitime avec l'argent du contribuable ?

      Ainsi, quelques années après 1959, ce même Mitterrand qu'on avait cru définitivement "lessivé" déshonnoré; ce Mitterrand qu'on avait déjà soupçonné d'avoir "puisé dans la caisse" des prisonniers de guerre dont il avait la responsabilité après la guerre; ce Mitterrand qui avait été ministre de tous les gouvernements de "droite" de la IVe, - dont le ministère de l'intérieur - et qui se présentait comme celui là même qui prétendait refonder le parti socialiste, animer un "puissant mouvement de gauche" pour le plus grand bonheur de ces Français qu'il fascinait comme le serpent fascine un lapin; ce Mitterrand près de qui on se suicidait allègrement (si je puis dire); ce Mitterrand avait tellement bien réussi à faire oublier ses turpitudes (pour parler comme Hollande) ou à les dissimuler derrière cette apparence de grande respectabilité qu'il aimait tant à se donner, qu'on finit par l'appeler "Dieu" ! Pour plaisanter certes, mais quand même : cela dénote le degré d'oubli dans lequel notre pays peut tomber. Même De Gaulle ne fut jamais appelé "Dieu", tout juste "le Grand Charles"....ou "la Grande Zorah" après qu'il eut lâché l'Algérie dans les conditions que l'on sait.

      On pourrait prendre bien d'autres personnages de notre histoire républicaine - en commençant par Danton, grand concussionnaire et prévaricateur devant l'Eternel et en poursuivant jusqu'à Tapie. Nombreux furent les personnages qu'on a cru ruinés politiquement et moralement et qui tels Phénix, renaissent de leurs cendres pour atteindre de nouveaux sommets. Il est vrai qu'en fait de sommet le répugnant Danton eut droit à l'échafaud. Mais,indépendamment de sa malhonnêteté et de son cynisme, n'avait-il le sang de milliers de Français sur les mains ?

      Alors ne vous réjouissez pas trop tôt. Vous verrez qu'en 2017 (c'est à dire dans quatre ans) l'affaire sera oubliée et enterrée, et, même si par extraordinaire Sarkozy était condamné (n'oubliez pas que pour le moment aucune preuve matérielle n'a été fournie qu'il y ait eu subordination et versement d'argent) il risque fort d'apparaître comme l'homme fort de la (fausse) Droite tant ses concurrents sont médiocres.
      Napoléon III et Hitler eux aussi firent des séjours en prison, Vidocq fut bagnard...et quelles carrières firent-ils pourtant ! aidés par la médiocrité du personnel politique qui leur était opposé !

      Alors ne tirez pas de plans sur la comète du fait que NS est "mis en examen" aujourd'hui, vous risqueriez d'être cruellement déçue.
      Ce n'est hélas pas demain que le "fils de saint Louis" retrouvera sa place à la tête de la France et des Français. Je crains qu'à défaut du roi légitime, il ne faille nous contenter de bouffons encore longtemps.....
      Bien à vous

      LSM

  9. Oui, effectivement.Tout à ma joie de la nouvelle , j'ai fermé les oreilles à ces voix qui me l'ont sans doute rappelé.Quatre ans,c'est vraiment long pour la mémoire d'un pays et, "faute de grives on prend des merles "...Car , qui pourra bien sortir du chapeau ; la relève ne laisse rien prévoir d'intéressant .
    Joyeuses Pâques .

    1. Vous avez parfaitement raison et l'avenir immédiat de notre pays, ne peut pas ne pas nous inquiéter.
      Mais "tant va la cruche......". La manifestation de dimanche (qui devait réunir un million de personnes) laisse présager une sorte de renouveau printanier en France. Car ce million de personnes était composé de familles, de pères, de mères et de leurs enfants qui, la plupart du temps, se fichent de la politique comme de leur premier bulletin de vote. Mais qui en ont assez de voir leur pays et leur culture se transformer en un vaste égout. C'est peut-être le début d'une révolution contre cette dictature insidieuse, néo-marxiste, relativiste qui nous impose d'accepter les pires aberrations et turpitudes sous le couvert des grands mots de "égalité" "liberté" "droit" qui, dans ce contexte, ne veulent plus rien dire. Tout s'est écroulé dans notre pays, sauf la famille qui reste le refuge, la bouée de sauvetage, la planche de salut dans le naufrage général. C'est pourquoi le pouvoir socialiste s'acharne à la détruire pour qu'enfin plus rien ne s'interpose entre l'individu tout nu, dépouillé de ses protections naturelles et l'Etat tout-puissant qui se donne de plus en plus, chez nous, la figure d'un anti-Christianisme virulent.
      Je suis bien d'accord avec vous qu'aucune des personnalités que nous avons évoquées, les "merles" politiques dont nous disposons (pour reprendre votre image) n'est en mesure d'opérer cette véritable révolution politique, morale, spirituelle qui remettra les choses à l'endroit. L'Histoire nous apprend que Dieu choisit souvent un petit, un faible, un obscur pour réaliser ses plus grands desseins. Qui aurait parié sur Jeanne d'Arc (votre inspiratrice) au 15e siècle ? qui eût parié sur Gandhi à la fin du 19e siècle ? et sur Lech Walesa pour abattre le régime soviétique dans son pays dans les années 80 ? Il nous faut donc prier et espérer.
      Ce qui ne nous empêche pas de prendre notre part à cet effort de régénération et de réagir contre tous les poisons qu'on cherche à nous faire avaler à chaque fois que nous en avons l'occasion. D'où un certain nombre d'articles de ce site.

      Bien à vous.

      LSM

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