[1] Geneviève est une sainte française, patronne de la ville de Paris et des gendarmes. Selon la tradition, grâce à sa force de caractère, Geneviève, qui n’a que 28 ans lors du siège de Paris en 451, convainc les habitants de Paris de ne pas abandonner leur cité aux Huns. Elle encourage les Parisiens à résister à l’invasion par les paroles célèbres : « Que les hommes fuient, s’ils veulent, s’ils ne sont plus capables de se battre. Nous les femmes, nous prierons Dieu tant et tant qu’Il entendra nos supplications. » De fait, Attila épargnera Paris.
Puis, en 465, elle s'opposera à Childéric Ier qui met le siège devant Paris. Elle forcera le blocus et parviendra ainsi à ravitailler plusieurs fois la ville. O tempora, o mores.
[2] Je laisse de côté les justifications techniques et cosmologiques avancées par l'astrologie conditionaliste, car, tout en m'efforçant d'adopter une attitude didactique qui puisse aider le lecteur à comprendre le cheminement de ma démonstration, je voudrais éviter que ces articles ne puissent être lus que par des spécialistes. Il faut donc user d'un dosage équilibré entre l'interprétation et sa démonstration technique pou éviter l'arbitraire dans un sens, le discours rébarbatif de l'autre. J'espère y arriver. En tout cas je m'y efforce.
[3] Que je distingue soigneusement de l'effort de construction d'une Europe solidaire et respectueuse de l'identité, de la culture et de la souveraineté des Nations qui la composent : celle voulue par Robert Schumann, de Gasperi et Pie XII au moment de la signature du Traité de Rome auquel la crise actuelle devra tôt ou tard nous ramener, sous peine d'échec définitif.
[4] Je fais allusion ici, pour les lecteurs qui n'ont pas connu les années 60, au combat politique entre Kennedy et Nixon en 1960 où Nixon avait été fort désavantagé par sa mine patibulaire, ses joues et son menton qui semblaient toujours en retard d'un coup de rasoir, son manque de charme, face à un Kennedy qui en avait à revendre (même s'il n'avait pas grand-chose de plus)…..Mais Nixon comprit la leçon et lors de sa candidature en 1968 contre le sénateur Humphrey, il soigna un peu mieux sa tenue et sut utiliser à son profit son déficit en matière d'image par l'humour. C'est ainsi que interrogé par un journaliste sur ses chances de succès, il répondit (je cite de mémoire) : "si on me juge sur mon charme, j'ai peu de chances !" ou quelque chose d'approchant. Il faut dire aussi que Humphrey n'avait rien à voir avec Kennedy mais se rapprochait un peu plus de François Hollande.
je vous dis merci !!! J'aime beaucoup vos analyses.....
Avec un peu d'humour je vous répondrai qu'on ne peut pas déplaire à tout le monde !....
Merci pour votre témoignage. Cela me change de la haine ordinaire déguisée en conscience sociale.
Bien à vous
LSM