Nous avons tous entendu parler de cette invraisemblable histoire suivant laquelle Brigitte Macron, née Trogneux, aurait d’abord été un Jean-Michel fort bien couillu, avant de devenir, grâce aux soins experts de quelque chirurgien fort discret, la Première Dame de France. Celle qui trône à l’Élysée où son présidentiel mari, rencontré quand il n’avait pas quinze ans alors qu’elle en avait déjà trente-neuf, ne songe qu’à la mettre en valeur comme une précieux témoignage de sa mâle et précoce adolescence.
Inutile de vous dire que je ne crois pas plus à cette histoire que je ne crois à l’équilibre moral, affectif, psychique et émotionnel de ce couple improbable.
Mais c’est une autre histoire qui relève plus de la psychiatrie et dont d’autres, plus qualifiés que moi, ont déjà traité ès qualités.
1/ RÉDACTION DE MÉMOIRES – BIOGRAPHIES – THÈSES – ROMANS ….
Une de mes activités à laquelle je n’ai jamais fait allusion sur ce blog consiste à me mettre à la disposition de celles et ceux qui ont quelque chose à dire, notamment sur les expériences que l’existence leur a réservées, mais qu’ils n’ont ni le temps ni la vocation de coucher sur le papier, alors qu’ils en éprouvent le désir et le feraient bien volontiers si on leur facilitait la tâche. D’autant que ce qu’ils ou elles ont à dire, non seulement satisferait leur besoin d’expression, mais bénéficierait à beaucoup de monde.
Nous avons conclu notre précédent et avant-dernier chapitre consacré au thème de Gabriel Attal, en adoptant le ton de la dérision. Pourquoi ?
Parce que commentant la situation de notre pays en observant les comportement de noss élites décérébrées, caquetantes et impuissantes dont nous nous sommes dotés, je me suis spontanément demandé ce que cette situation, aussi ubuesque que funeste, aurait inspiré à Molière ? Et les vers de Musset rendant hommage à son génie et à son art de la dérision politique (entre autres) dans « Une soirée perdue », me sont revenus en mémoire :